Volcans en éruption sur Io
Crédit : Voyager Project, JPL et NASA
La lune de Jupiter, Io, possède des volcans actifs. Les sondes Voyager en ont observé plusieurs en éruption lors de leur passage à proximité de cette lune très énergétique en 1979. Sur l’image ci-dessus, plusieurs volcans de Io sont visibles, et l’on peut en voir un en pleine éruption. Des débris issus de cet événement explosif sont visibles dans la partie supérieure gauche de la photo, juste au-delà du limbe de Io.
On pense que le volcanisme de Io est provoqué par les importantes déformations de marée exercées par Jupiter, Europe et Ganymède. Ces forces de marée étirent Io, provoquent des frictions internes et chauffent ainsi son intérieur. L’intérieur surchauffé se dilate alors et s’échappe vers la surface par les volcans.
#Space #Espace
Crédit : Voyager Project, JPL et NASA
La lune de Jupiter, Io, possède des volcans actifs. Les sondes Voyager en ont observé plusieurs en éruption lors de leur passage à proximité de cette lune très énergétique en 1979. Sur l’image ci-dessus, plusieurs volcans de Io sont visibles, et l’on peut en voir un en pleine éruption. Des débris issus de cet événement explosif sont visibles dans la partie supérieure gauche de la photo, juste au-delà du limbe de Io.
On pense que le volcanisme de Io est provoqué par les importantes déformations de marée exercées par Jupiter, Europe et Ganymède. Ces forces de marée étirent Io, provoquent des frictions internes et chauffent ainsi son intérieur. L’intérieur surchauffé se dilate alors et s’échappe vers la surface par les volcans.
#Space #Espace
📷 Tomás Moreno
IC 405, également connue comme la nébuleuse de l'étoile flamboyante, est une spectaculaire nébuleuse d'émission et de réflexion située dans la constellation de l'Auriga, à une distance de 1 500 ans. Son aspect brillant et sa couleur doivent être liés à l'interaction de l'étoile AE Aurigae avec le gaz et la pollution circulante.
#Astronomie #Astronomy #Nostrfr
Orion et l’Océan des Tempêtes
Crédit image : NASA, Artemis 1
Explication : Le 5 décembre 2022, une caméra embarquée à bord du vaisseau spatial Orion, sans équipage, a capturé cette vue alors qu’Orion s’approchait de son survol lunaire de retour propulsé. Au-delà de l’un des panneaux solaires déployés d’Orion s’étend un terrain sombre et lisse le long de la bordure occidentale de l’Oceanus Procellarum. Bien visible sur la face proche de la Lune, l’Oceanus Procellarum — l’Océan des Tempêtes — est le plus vaste des maria lunaires inondés de lave. Le terminateur lunaire, la ligne d’ombre séparant la nuit et le jour lunaires, longe le côté gauche de l’image. Le cratère Marius, d’un diamètre de 41 kilomètres, se situe en haut au centre, tandis que le cratère à rayons Kepler apparaît à la limite du champ, juste à droite de l’aile du panneau solaire. Les rayons lumineux de Kepler s’étendent vers le nord et l’ouest, atteignant le fond sombre de Marius. Le 11 décembre 2022, le vaisseau spatial Orion était de retour sur son monde d’origine. La mission historique Artemis 1 s’est achevée avec l’amerrissage réussi d’Orion dans les eaux de l’océan Pacifique de la planète Terre.
Source :
📷 Gianni Melis
Source :
Les feux du renard du nord
Crédit et droits d’auteur : Dennis Lehtonen
Explication : Dans un mythe finlandais, lorsque le renard arctique court si vite que sa queue touffue effleure les montagnes, des étincelles enflammées sont projetées vers les cieux, créant les aurores boréales. En réalité, le mot finnois « revontulet », nom donné aux aurores boréales, peut se traduire par « feux du renard ». Ce mythe évocateur a pris une signification particulière pour le photographe de ce paysage nocturne du nord de la Finlande, près du lac Kilpisjärvi. La scène enneigée est illuminée par la lumière de la lune. Saana, une montagne emblématique de la Laponie, se dresse à droite en arrière-plan. Mais alors que les magnifiques aurores boréales dansaient au-dessus de lui, le « renard de feu » sauvage au premier plan courait joyeusement autour du photographe et de son matériel, rendant difficile la capture de cette image chanceuse en un seul cliché.
Source :
Io, le corps le plus volcanique du système solaire, est observé ici avec la plus haute résolution obtenue à ce jour par la sonde Galileo de la NASA. Les plus petits détails discernables ont une taille de 2,5 kilomètres. On y voit des montagnes escarpées de plusieurs kilomètres de hauteur, des matériaux stratifiés formant des plateaux, et de nombreuses dépressions irrégulières appelées caldeiras volcaniques. Plusieurs des zones sombres ressemblant à des coulées correspondent à des points chauds et pourraient être des coulées de lave actives. Aucun relief ne ressemble à un cratère d’impact, car le volcanisme recouvre la surface avec de nouveaux dépôts beaucoup plus rapidement que le flux de comètes et d’astéroïdes ne peut créer de grands cratères. L’image est centrée sur le côté de Io qui fait toujours face à l’opposé de Jupiter ; le nord est en haut.
Les images en couleur acquises le 7 septembre 1996 ont été fusionnées avec des images de plus haute résolution obtenues le 6 novembre 1996 par le système Solid State Imaging (CCD) à bord de la sonde Galileo. La couleur est composée de données prises à une distance de 487 000 kilomètres, avec des filtres proche infrarouge, vert et violet, et a été améliorée pour mettre en évidence les extraordinaires variations de couleur et de luminosité qui caractérisent le visage de Io. Les images haute résolution ont été obtenues à des distances variant de 245 719 kilomètres à 403 100 kilomètres.
📷 Jason Wiscovitch
SH2-101, également connue sous le nom de Nébuleuse Tulipe, est une magnifique nébuleuse par émission située dans la constellation du Cygne. Elle présente des structures complexes et des couleurs vibrantes, ce qui en fait un sujet prisé des astrophotographes tels que Jason Wiscovitch. La nébuleuse est une région de formation stellaire active, avec de magnifiques "pétales" sculptés par des vents stellaires intenses et le rayonnement des étoiles.
#Astronomy #Astronomie #Nostrfr
📷 NASA, ESA et Jesús Maíz Apellániz (Institut d’Astrophysique d’Andalousie, Espagne).
Des galaxies dans la Rivière
Crédit image et droits d’auteur : Vikas Chander
Explication : les grandes galaxies croissent en absorbant les petites. Même notre propre galaxie se livre à une forme de cannibalisme galactique, en engloutissant les petites galaxies qui s’approchent trop et sont capturées par la gravité de la Voie lactée. En réalité, cette pratique est courante dans l’Univers et illustrée ici par ce remarquable duo de galaxies en interaction, situé dans la partie australe de la constellation de l’Éridan, la Rivière.
Située à plus de 50 millions d’années-lumière, la grande spirale déformée NGC 1532 apparaît engagée dans une lutte gravitationnelle avec la galaxie naine NGC 1531, une lutte que la plus petite finira inévitablement par perdre. Vue presque par la tranche, dans cette image très nette, la spirale NGC 1532 s’étend sur environ 100 000 années-lumière. Le duo NGC 1532/1531 est considéré comme analogue au système bien étudié formé par une spirale vue de face et son petit compagnon, connu sous le nom de M51.
Source :