Une tempête de poussière sur plusieurs centaines de kilomètres au-dessus du Sahara (image prise depuis la Station spatiale internationale).
📷 NASA/ISS
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Les jets bipolaires de KX Andromedae
Crédit image & Copyright : Tim Schaeffer et le Deep Sky Collective
Explication :
S’échappant à grande vitesse de l’étoile variable KX Andromedae, ces magnifiques jets bipolaires s’étendent sur 19 années-lumière de long. Récemment découverts, ils sont révélés avec un niveau de détail sans précédent dans cette image télescopique profonde centrée sur KX And, composée de plus de 692 heures de données d’exposition cumulées.
En réalité, KX And est, d’après son spectre, un système binaire interactif constitué d’une étoile brillante et chaude de type B accompagnée d’une géante rouge gonflée qui orbite très près d’elle. La matière stellaire de la géante rouge est probablement transférée vers l’étoile chaude de type B via un disque d’accrétion, ce qui génère des jets symétriques spectaculaires projetés perpendiculairement au plan de ce disque.
La distance connue de KX And (2 500 années-lumière), la taille angulaire des jets et l’inclinaison estimée du disque d’accrétion permettent d’estimer la longueur de chaque jet à l’incroyable valeur de 19 années-lumière.
Source : 
L'astéroïde Donaldjohanson, vu par l'imageur de reconnaissance à longue portée Lucy (L'LORRI) à bord de la sonde Lucy de la NASA lors de son survol. Cette série d'images en accéléré présente des clichés pris environ toutes les 2 secondes, le 20 avril 2025 L'astéroïde tourne très lentement ; la rotation apparente observée ici est due au mouvement de la sonde lors de son survol de Donaldjohanson à une distance comprise entre 1 600 et 1 100 km La distance minimale de passage de la sonde était de 960 km, mais les images présentées ont été prises environ 40 secondes auparavant, les plus proches ayant été capturées à une distance de 1 100 km.
Crédit : NASA/Goddard/ SwRI/Johns Hopkins APL/NOIRLab
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Crédit image & droits d’auteur : Russell Croman
Qu’est-ce qui alimente cette nébuleuse inhabituelle ? CTB-1 est la coquille de gaz en expansion laissée lorsqu’une étoile massive, en direction de la constellation de Cassiopée, a explosé il y a environ 10 000 ans. L’étoile a probablement détoné lorsqu’elle a manqué, près de son cœur, d’éléments capables de créer une pression stabilisatrice par la fusion nucléaire.
Le vestige de supernova qui en résulte, surnommé la Nébuleuse Medulla en raison de sa forme semblable à un cerveau, continue de briller dans la lumière visible grâce à la chaleur générée par sa collision avec le gaz interstellaire environnant. Pourquoi la nébuleuse brille également en rayons X reste cependant un mystère.
Une hypothèse suggère qu’un pulsar énergétique a été créé en même temps et qu’il alimente la nébuleuse par un vent rapide se dirigeant vers l’extérieur. En suivant cette piste, un pulsar a récemment été découvert dans les ondes radio, et il semblerait qu’il ait été expulsé par l’explosion de la supernova à une vitesse supérieure à 1 000 kilomètres par seconde.
Bien que la Nébuleuse Medulla apparaisse aussi grande qu’une pleine Lune, elle est si faible qu’il a fallu 130 heures d’exposition avec deux petits télescopes au Nouveau-Mexique, aux États-Unis, pour créer l’image présentée.
Des galaxies dans la Fournaise
Crédit image & droits d’auteur : Simone Curzi et l’équipe ShaRA
Explication :
Voici un exemple de violence à l’échelle cosmique : l’énorme galaxie elliptique NGC 1316 se trouve à environ 75 millions d’années-lumière en direction de Fornax, la constellation australe de la Fournaise. En étudiant ce spectacle saisissant, les astronomes soupçonnent la galaxie géante d’entrer en collision avec sa voisine plus petite, NGC 1317, visible juste à droite du centre de la grande galaxie, produisant des courants stellaires lointains en boucles et en coquilles.
La lumière de leur rencontre rapprochée aurait atteint la Terre il y a environ 100 millions d’années. Sur cette image télescopique très nette, les régions centrales de NGC 1316 et NGC 1317 apparaissent séparées de plus de 100 000 années-lumière. Les bandes de poussière complexes visibles indiquent également que NGC 1316 est elle-même le résultat de la fusion de galaxies dans un passé lointain.
Située à la périphérie de l’amas de galaxies de Fornax, NGC 1316 est aussi connue sous le nom de Fornax A. L’une des galaxies les plus brillantes visuellement de l’amas de Fornax, elle est aussi l’une des sources radio célestes les plus puissantes et les plus vastes, avec une émission radio s’étendant bien au-delà de ce champ de vision large d’un degré.
Source :
📷 Nasa/ESA/STScI