Blue Moon MK1 : le nouvel atterrisseur lunaire géant de Blue Origin
Via ses réseaux sociaux, Jeff Bezos a dévoilé le Blue Moon MK1, le tout nouvel atterrisseur lunaire de Blue Origin, annoncé comme le plus imposant jamais construit pour atteindre la Lune. Son lancement est prévu au plus tôt début 2026.
D’une hauteur de huit mètres, le module MK1 dépasse en taille le célèbre module Apollo et est conçu pour transporter la charge utile scientifique de la NASA vers la région polaire sud de la Lune, près du cratère Shackleton. Cette innovation marque une étape majeure dans la collaboration entre l’industrie privée et l’agence spatiale américaine, ouvrant la voie aux futures missions habitées.
Le Blue Moon MK1 se distingue par sa capacité de transport, pouvant acheminer jusqu’à trois tonnes de ravitaillement sur la surface lunaire. Une prouesse qui en fait un vaisseau cargo clé pour le développement des infrastructures nécessaires à l’exploration lunaire. Ses dimensions et ses performances en font un pilier central des prochaines étapes du programme spatial, surpassant largement celles des modules utilisés lors des missions Apollo.
#Espace #Space
Via ses réseaux sociaux, Jeff Bezos a dévoilé le Blue Moon MK1, le tout nouvel atterrisseur lunaire de Blue Origin, annoncé comme le plus imposant jamais construit pour atteindre la Lune. Son lancement est prévu au plus tôt début 2026.
D’une hauteur de huit mètres, le module MK1 dépasse en taille le célèbre module Apollo et est conçu pour transporter la charge utile scientifique de la NASA vers la région polaire sud de la Lune, près du cratère Shackleton. Cette innovation marque une étape majeure dans la collaboration entre l’industrie privée et l’agence spatiale américaine, ouvrant la voie aux futures missions habitées.
Le Blue Moon MK1 se distingue par sa capacité de transport, pouvant acheminer jusqu’à trois tonnes de ravitaillement sur la surface lunaire. Une prouesse qui en fait un vaisseau cargo clé pour le développement des infrastructures nécessaires à l’exploration lunaire. Ses dimensions et ses performances en font un pilier central des prochaines étapes du programme spatial, surpassant largement celles des modules utilisés lors des missions Apollo.
#Espace #Space
Crédits : ESA/DLR/FUBerlin/Andrea Luck CC BY
En orbite autour de Mars depuis plus de 20 ans, la sonde européenne Mars Express a photographié Phobos. Après traitement, le petit satellite naturel s’exhibe au premier plan d’une vaste et majestueuse portion de la planète rouge. Pour le plaisir des yeux…
Il navigue autour de Mars tel une bille sombre flottant dans l’espace. Avec à peine 25 km d’envergure, Phobos est le plus grand des deux satellites naturels de la planète rouge. La sonde Mars Express l’a photographié en juillet 2024 grâce à sa caméra stéréo à haute résolution (HRSC). Dans les jours qui ont suivi, le passionné de traitement d’images spatiales Andrea Luck a assemblé ces données partagées par l’ESA pour révéler ce sublime tableau martien.
#Mars #Nostrfr
Le rover Mars Perseverance de la NASA a capturé cette image à l’aide de sa caméra Mastcam-Z gauche. Mastcam-Z est une paire de caméras située en hauteur sur le mât du rover.
Cette image a été prise le 18 novembre 2025 (Sol 1687) à 10:31:58, heure solaire moyenne locale.
Crédit image : NASA/JPL-Caltech/ASU
#Mars
📷 : NASA, ESA, CSA, STScI, Y. Han (Caltech), R. White (Macquarie University), A. Pagan (STScI)
Cette nouvelle image infrarouge moyenne du télescope spatial James Webb (NASA/ESA/CSA) révèle pour la première fois quatre coquilles de poussière en spirale autour d’une paire d’étoiles Wolf-Rayet connue sous le nom d’Apep. Jusqu’ici, les autres télescopes n’en avaient montré qu’une seule. Ces structures étonnantes se forment parce que les deux étoiles Wolf-Rayet accomplissent une orbite complète l’une autour de l’autre tous les 190 ans. Lorsqu’elles s’approchent étroitement – une phase qui dure environ 25 ans – leurs vents stellaires extrêmement rapides entrent en collision et produisent de la poussière de carbone amorphe. Celle-ci est ensuite propulsée vers l’extérieur, formant des coquilles en spirale qui s’enroulent comme une vague figée dans l’espace.
#nostrfr #Astronomy #Astronomie
📷 : Eric Coles
Transit de Dione et Rhéa devant les anneaux
Crédit image & droits d’auteur : Christopher Go
Explication :
À gauche du disque planétaire strié de Saturne, les petites lunes glacées Dione et Rhéa se faufilent devant l’immense système d’anneaux du géant gazeux dans ce cliché télescopique ultra-net. L’image a été capturée le 20 novembre, alors que les anneaux de Saturne étaient presque vus par la tranche depuis la Terre. En réalité, tous les 13 à 16 ans, l’alignement Terre-Saturne offre une série de passages du plan des anneaux. Lors d’un tel passage, la vue « par la tranche » rend les anneaux, pourtant si brillants, presque invisibles !
D’ici le 23 novembre, les anneaux atteindront leur inclinaison minimale, au plus fin de ce qu’on peut observer depuis notre planète, avant de recommencer à s’ouvrir, tout guillerets. Évidemment, Dione et Rhéa, elles, trottinent autour de Saturne près du plan des anneaux tous les 2,7 et 4,5 jours respectivement. La prochaine série de passages du plan des anneaux vue depuis la Terre débutera en 2038.
#Astronomie #Astronomy #nostrfr
📷 : NASA, ESA, CSA, STScI
La Nasa a dévoilé une image du James Webb qui représente la galaxie du Pingouin et la galaxie de l'Œuf, collectivement connues sous le nom d'ARP 142. Leur interaction continue a été déclenchée il y a entre 25 et 75 millions d'années, lorsque le Pingouin et l'Œuf (NGC 2937) ont effectué leur premier rapprochement. Les deux continueront à se tourner autour, complétant plusieurs orbites supplémentaires, avant de fusionner et de former une unique galaxie dans des centaines de millions d’années.
Crédit : Tulia I. Arias et Rodolfo H. Barba (Dept. Física, Univ. de La Serena), ICATE–CONICET, Gemini Observatory/AURA
Des crêtes brillantes ondoyantes et des nuages poussiéreux traversent ce gros plan de la région de formation stellaire voisine M8, aussi connue sous le nom de nébuleuse de la Lagune. Image composite en fausses couleurs combinant des données en bande étroite (visible) et en bande large (infrarouge proche), capturée par le télescope Gemini Sud de 8 mètres, cette vue entière s’étend sur environ 20 années-lumière à travers une zone de la nébuleuse parfois appelée la Falaise Australe.
L’image, riche en détails, explore l’association de nombreuses étoiles nouveau-nées nichées au bout des nuages à bords lumineux, ainsi que des objets Herbig-Haro. Abondants dans les régions où naissent les étoiles, ces objets Herbig-Haro se forment lorsque de puissants jets expulsés par de jeunes étoiles en pleine croissance chauffent les nuages de gaz et de poussière environnants.
La Lagune cosmique se trouve à environ 5 000 années-lumière, en direction de la constellation du Sagittaire et du centre de notre Voie lactée.
#nostrfr #Astronomy #Astronomie