​🌌 Collision cosmique : la fusion des galaxies Arp 302 (VV 340)
​L'objet de l'espace profond VV 340, également connu sous le nom d'Arp 302, est un exemple typique de deux galaxies en collision. Situé à environ 450 millions d'années-lumière de la Terre, ce choc cosmique s'étendra sur des millions d'années.
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​Ces deux galaxies spirales finiront par fusionner, un processus similaire à la future collision de la galaxie d'Andromède avec notre Voie lactée, prévue dans plusieurs milliards d'années. En raison de son intense luminosité dans la lumière infrarouge, VV 340 est classée parmi les galaxies infrarouges lumineuses (LIRG), selon la NASA.
​📸 ​L'image composite des galaxies en collision combine des données de plusieurs observatoires :
​Rayons X : Observatoire Chandra (NASA/CXC/IfA/D. Sanders et al.)
​Optique : Télescope spatial Hubble (NASA/STScI/NRAO/A. Evans et al.)
#Astronomy #Astronomie
​L'objet de l'espace profond VV 340, également connu sous le nom d'Arp 302, est un exemple typique de deux galaxies en collision. Situé à environ 450 millions d'années-lumière de la Terre, ce choc cosmique s'étendra sur des millions d'années.
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​Ces deux galaxies spirales finiront par fusionner, un processus similaire à la future collision de la galaxie d'Andromède avec notre Voie lactée, prévue dans plusieurs milliards d'années. En raison de son intense luminosité dans la lumière infrarouge, VV 340 est classée parmi les galaxies infrarouges lumineuses (LIRG), selon la NASA.
​📸 ​L'image composite des galaxies en collision combine des données de plusieurs observatoires :
​Rayons X : Observatoire Chandra (NASA/CXC/IfA/D. Sanders et al.)
​Optique : Télescope spatial Hubble (NASA/STScI/NRAO/A. Evans et al.)
#Astronomy #Astronomie
Credit : NASA/JPL-Caltech/MSSS
La surface ondulée de la première dune de sable martienne jamais étudiée de près remplit cette vue de « High Dune », prise par la caméra Mast (Mastcam) du rover Curiosity de la NASA. Ce site fait partie du champ de dunes appelé « Bagnold Dunes », situé sur le flanc nord-ouest du mont Sharp. Ces dunes sont actives et se déplacent d’environ un mètre (ou une verge) par an.
Les images composant cette mosaïque ont été prises le 27 novembre 2015, au cours du 1 176ᵉ jour martien (ou sol) de la mission Curiosity sur Mars.
La scène est présentée avec un ajustement des couleurs qui simule un équilibrage des blancs, afin de montrer le sable tel qu’il apparaîtrait sous un éclairage diurne terrestre.
#Mars #Nostrfr #NASA
Grâce à la caméra HiRISE embarquée à bord de la sonde de la NASA, on découvre un champ de dunes qui contourne gracieusement une colline, façonné par les puissantes rafales martiennes.
Cette photographie confirme ce que les scientifiques observent depuis longtemps : sur la Planète rouge, le vent est un véritable artiste, capable de modeler les paysages… et parfois de souffler avec une force impressionnante ! 💨
📸 Crédit : NASA / JPL / University of Arizona

Crédits image : NASA — Rayons X : Chandra (CXC), Optique : Hubble (STScI), Infrarouge : Spitzer (JPL-Caltech)
Au cœur de la nébuleuse du Crabe se trouve une étoile à neutrons magnétisée, de la taille d’une ville, tournant sur elle-même 30 fois par seconde. Connue sous le nom de pulsar du Crabe, elle apparaît comme le point lumineux au centre du tourbillon gazeux de la nébuleuse.
S’étendant sur environ douze années-lumière, cette image spectaculaire montre les gaz lumineux, les cavités et les filaments tourbillonnants proches du centre de la nébuleuse. L’image présentée combine la lumière visible du télescope spatial Hubble (en violet), les rayons X de l’observatoire Chandra (en bleu) et la lumière infrarouge du télescope Spitzer (en rouge).
Tel une dynamo cosmique, le pulsar du Crabe alimente l’émission de la nébuleuse, propulsant une onde de choc à travers la matière environnante et accélérant les électrons en spirale. Avec une masse supérieure à celle du Soleil et une densité comparable à celle d’un noyau atomique, ce pulsar en rotation est le cœur effondré d’une étoile massive qui a explosé.
Les régions externes de la nébuleuse du Crabe constituent les restes en expansion des gaz issus de cette étoile. L’explosion en supernova a été observée depuis la Terre en l’an 1054.
#Astronomie #Astronomy #Nostrfr
Crédit image et droits d’auteur : Richard Bosman
Le cratère Platon, au fond sombre et large de 95 kilomètres, ainsi que les pics ensoleillés des Alpes lunaires (Montes Alpes), sont mis en valeur sur ce cliché numérique précis de la surface de la Lune.
Alors que les Alpes terrestres se sont formées au fil de millions d’années par la lente collision de plaques continentales, les Alpes lunaires, elles, se sont probablement créées à la suite d’une collision soudaine ayant engendré le gigantesque bassin d’impact connu sous le nom de Mare Imbrium — ou « Mer des Pluies ». Le fond généralement lisse de cette mer, inondé par la lave, apparaît en dessous de la chaîne montagneuse qui la borde.
La structure rectiligne marquante qui traverse les montagnes est la vallée alpine lunaire (Vallis Alpes). Reliant la Mare Imbrium à la Mare Frigoris (la « Mer du Froid ») située plus au nord, cette vallée s’étend vers le coin supérieur droit sur environ 160 kilomètres de long et jusqu’à 10 kilomètres de large.
Bien sûr, la grande et brillante montagne alpine située en dessous et à droite de la vallée porte le nom de Mont Blanc. C’est la plus haute des Alpes lunaires, culminant à plus de 3 kilomètres au-dessus de la surface.
Dépourvues d’atmosphère — et encore plus de neige —, les Alpes lunaires ne sont sans doute pas un lieu de vacances d’hiver idéal. Cependant, un skieur de 70 kilos ne pèserait que 11 kilos sur la Lune.
#Lune #Moon