Triple conjonction des lunes de Jupiter image Crédit image : NASA, ESA et l’équipe du Hubble Heritage (STScI/AURA) La planète géante dominante de notre système solaire, Jupiter, ainsi que trois de ses quatre grandes lunes galiléennes, sont capturées dans ce cliché unique du télescope spatial Hubble. Sur l’image, Europe, Callisto et Io traversent les sommets nuageux striés de Jupiter, de gauche en bas à droite en haut, formant une rare triple conjonction. Leur couleur permet de les distinguer aisément : Europe, recouverte de glace, apparaît presque blanche ; Callisto, dont la surface ancienne est criblée de cratères, se montre brun foncé ; et Io, le monde volcanique, se teinte de jaune. Les lunes galiléennes ont des diamètres compris entre 3 000 et 5 000 kilomètres, comparables à celui de notre propre Lune. #Astronomie #Astronomy
Au centre de la nébuleuse Trifide image Crédit image & droits d'auteur : Martin Pugh Une étoile massive unique, visible près du centre, est à l'origine de la majeure partie de la lueur de la Trifide. La Trifide, cataloguée sous le nom M20, n'a que environ 300 000 ans, ce qui en fait l'une des nébuleuses d'émission les plus jeunes connues. Cette nébuleuse de formation d'étoiles se situe à environ 9 000 années-lumière en direction de la constellation du Sagittaire. La région représentée ici s'étend sur environ 20 années-lumière. #Nostrfr #Astronomy #Astronomie
Le Récif Cosmique : une merveille stellaire capturée par Hubble. image Crédit : NASA, ESA et STScI Cette image saisissante, l'une des plus spectaculaires jamais capturées par le télescope spatial Hubble de la NASA/ESA au cours de ses 30 années d'observation, met en lumière les nébuleuses géantes NGC 2014 et NGC 2020. Ces deux structures forment une partie d'une vaste région de formation d'étoiles au sein du Grand Nuage de Magellan, une galaxie satellite de la Voie lactée située à environ 163 000 années-lumière. Surnommée le « Récif Cosmique » en raison de sa ressemblance frappante avec un écosystème sous-marin.
Éclatante météore observée dans le ciel de Santiago, Mexique. #Nostrfr
La NASA combine la vision en rayons X de Chandra aux images infrarouges de Webb : une vue spectaculaire de la galaxie Cartwheel. image Les premières images emblématiques du télescope spatial James Webb ont été enrichies par l’intégration des données en rayons X de l’Observatoire Chandra de la NASA. Cette combinaison met en lumière la puissance complémentaire de ces deux instruments, révélant des détails inédits de l’Univers. La galaxie Cartwheel, dont la forme caractéristique résulte d’une collision avec une galaxie plus petite il y a environ 100 millions d’années, est au cœur de cette nouvelle image composite. Cette collision, bien que la galaxie plus petite soit hors du champ de l’image, a déclenché une intense formation d’étoiles, visible sous forme d’un anneau extérieur lumineux et à d’autres endroits de la galaxie. Les données en rayons X de Chandra (en bleu et violet) révèlent du gaz surchauffé, des étoiles ayant explosé en supernovae, ainsi que des étoiles à neutrons et des trous noirs capturant la matière de leurs étoiles compagnes. De son côté, la vision infrarouge de Webb (en rouge, orange, jaune, vert et bleu) dévoile la structure détaillée de la galaxie Cartwheel, accompagnée de deux petites galaxies voisines – non impliquées dans la collision – sur un fond parsemé de galaxies plus lointaines. Crédits de l’image : Rayons X : NASA/CXC ; Infrarouge : NASA/ESA/CSA/STScI #Astronomie #Astronomy #Nostrfr
Jupiter : Des images stupéfiantes capturées par le télescope spatial James Webb (JWST) image 📷 NASA, ESA, Jupiter ERS Team ; traitement d'image par Ricardo Hueso [UPV/EHU] et Judy Schmidt. ​Des aurores polaires spectaculaires ​Aux pôles de la planète la plus massive de notre Système solaire jaillissent des lueurs d'un éclat quasi-fluorescent. Ces aurores boréales et australes de Jupiter sont générées, comme sur Terre, par l'interaction de particules chargées issues du vent solaire avec le puissant champ magnétique de l'astre. Elles s'étendent sur de très hautes altitudes au-dessus des régions polaires. ​Une vue composite riche en détails ​Sur cette image composite , le JWST a révélé une quantité de détails inédite : ​À l'extrême gauche, on aperçoit la pointe de diffraction de Io, l'un des satellites galiléens. ​Juste après, deux autres lunes plus petites sont visibles : Amalthée et Adrastée. ​Le télescope a également capturé les très fins anneaux de la géante gazeuse. ​Les aurores nord et sud sont clairement mises en évidence, ainsi que le phénomène de diffraction de lumière qu'elles provoquent. ​La « traduction » des données infrarouges ​Ces images exceptionnelles proviennent de l'instrument NIRCam (Near-Infrared Camera) du James Webb, conçu pour observer dans le proche infrarouge grâce à des filtres spécialisés. L'infrarouge étant un champ invisible à l'œil nu, la lumière capturée a été « traduite » et cartographiée dans le spectre visible à l'aide de fausses couleurs (ou couleurs de synthèse). ​En règle générale, les longueurs d'onde les plus longues sont représentées en tons de rouge, tandis que les plus courtes apparaissent en bleu. ​Le mystère des nuages en haute altitude ​La célèbre Grande Tache Rouge jovienne — une tempête anticyclonique si vaste qu'elle pourrait engloutir la Terre entière — apparaît étonnamment blanche. Cette teinte, qu'elle partage avec la couche nuageuse équatoriale, est due au fait que ces éléments réfléchissent intensément le rayonnement solaire (dans les longueurs d'onde observées par le JWST), signalant la présence de nuages de très haute altitude dans ces zones. #Astronomie #Astronomy
Le télescope Chandra de la NASA ajoute une vision aux rayons X aux images de Webb - Composite du Quintette de Stephan image ​Crédits image : Rayons X : NASA/CXC/SAO ; IR (Spitzer) : NASA/JPL-Caltech ; IR (Webb) : NASA/ESA/CSA/STScI ​Ces nouvelles versions des premières images de Webb combinent ses données infrarouges avec des rayons X collectés par l'Observatoire de rayons X Chandra de la NASA, soulignant à quel point la puissance de chacun de ces télescopes n'est qu'améliorée lorsqu'elle est associée à d'autres. ​Les quatre galaxies au sein du Quintette de Stephan sont engagées dans une danse complexe chorégraphiée par la gravité. (La cinquième galaxie, à gauche, est une galaxie interlope située à une distance différente.) La nouvelle image de Webb (rouge, orange, jaune, vert, bleu) de cet objet présente des détails jamais vus des résultats de ces interactions, y compris des queues balayantes de gaz et des explosions de formation d'étoiles. Les données de Chandra (bleu clair) de ce système ont révélé une onde de choc qui chauffe le gaz à des dizaines de millions de degrés, alors que l'une des galaxies traverse les autres à des vitesses d'environ 2 millions de miles par heure (environ 3,2 millions de kilomètres par heure). Ce nouveau composite comprend également des données infrarouges du télescope spatial Spitzer de la NASA, maintenant mis hors service (rouge, vert, bleu).
Aurore au-dessus du glacier islandais image ​Crédit & Droits d'Auteur de l'Image : James Boardman Woodend ​Plusieurs conditions clés se sont réunies pour créer ce cliché primé. Celles-ci comprenaient une nuit noire, peu de nuages, un spectacle auroral épique, et une étendue d'eau suffisamment calme et non gelée pour montrer le reflet des étoiles. Ce paysage céleste, mêlant activité et sérénité, est apparu au-dessus du glacier Vatnajökull en Islande. #Nostrfr
Fleur de fibrilles sur le Soleil image Crédit image et droits d'auteur : Observatoire Solaire de Big Bear, NJIT, Alan Friedman (Averted Imagination) Quand le Soleil ressemble-t-il à une fleur ? Dans une couleur spécifique de lumière rouge émise par l'hydrogène, comme illustré ici, certaines régions de la chromosphère solaire peuvent évoquer une rose. Cette image inversée en couleur, prise en octobre 2014, montre la région solaire active 2177. Les pétales qui dominent l'image sont en réalité des tubes de plasma chaud confinés magnétiquement, appelés fibrilles, dont certaines s'étendent sur une longueur supérieure au diamètre de la Terre. Dans la région centrale, beaucoup de ces fibrilles sont vues de face, tandis que les régions environnantes sont généralement remplies de fibrilles courbées. Lorsqu'elles sont observées au bord du Soleil, ces immenses tubes de plasma sont appelés spicules, et lorsqu'elles apparaissent dans des régions passives, on les nomme mottes. La région de taches solaires 2177 a subsisté plusieurs jours supplémentaires avant que le champ magnétique complexe et tumultueux traversant la surface du Soleil n'évolue à nouveau. #Astronomie #Astronomy #Sun #Soleil
Comète C/2025 A6 Lemmon photographiée par Michael Jaeger le 20 octobre 2025 à Hochbärneck, Autriche image #Astronomy #Astronomie