Une protubérance solaire
Crédits image et copyright : Alan Friedman
#Astronomie #Astronomy #Nostrfr
Crédits image et copyright : Alan Friedman
#Astronomie #Astronomy #Nostrfr
Crédits image et copyright : Alan Friedman
#Astronomie #Astronomy #Nostrfr
Crédits image : Rayons X : NASA/CXC/SAO – Optique : NASA/STScI – Radio : NSF/NRAO/AUI/VLA
Cygnus A, observée à travers l’ensemble du spectre électromagnétique.
Les données en rayons X (en bleu), obtenues par l’observatoire spatial Chandra, révèlent que Cygnus A est une source prodigieuse de rayonnement à haute énergie. Cependant, elle se distingue surtout dans la partie basse énergie du spectre.
Située à environ 600 millions d’années-lumière, Cygnus A est la galaxie radio puissante la plus proche de la Terre, ainsi que l’une des sources les plus brillantes du ciel pour les radiotélescopes. Son émission radio (en rouge) s’étend de part et d’autre de l’axe central sur près de 300 000 années-lumière, alimentée par des jets de particules relativistes émanant du trou noir supermassif au cœur de la galaxie.
Les points chauds visibles correspondent probablement aux extrémités des jets, là où ils percutent le milieu environnant, plus froid et dense. Les teintes jaunes représentent les données optiques issues du télescope spatial Hubble et du Digital Sky Survey, complétant cette vue multi-longueurs d’onde remarquable d’une des galaxies actives les plus emblématiques de l’Univers.
#Astronomie #Astronomy
Crédit image et droits d’auteur : Équipe CHART32, traitement – Johannes Schedler
Des nuages de poussière cosmique et de jeunes étoiles énergétiques peuplent cette vue télescopique, située à moins de 500 années-lumière, près de la limite nord de la Couronne Australe (Corona Australis). Ces nuages de poussière bloquent efficacement la lumière des étoiles plus lointaines de la Voie lactée.
Le spectaculaire complexe de nébuleuses par réflexion, répertorié sous les références NGC 6726, NGC 6727 et IC 4812, présente une teinte bleutée caractéristique : la lumière des jeunes étoiles chaudes de la région est réfléchie par la poussière cosmique. Cette même poussière masque également des étoiles encore en formation.
À gauche, la petite nébuleuse jaunâtre NGC 6729 s’enroule autour de la jeune étoile variable R Coronae Australis. Juste en dessous, des arcs et boucles lumineux, produits par les chocs des éjections issues d’étoiles nouvellement nées enfouies dans la poussière, sont identifiés comme des objets de Herbig-Haro.
#Nostrfr #Astronomie #Astronomy
Crédit image : Toni Fabiani Méndez
Pouvez-vous repérer la nébuleuse de la Rosette ? La nébuleuse rouge, semblable à une fleur, juste au-dessus du centre de l’image, pourrait sembler être la bonne candidate, mais ce n’est pas elle. La célèbre nébuleuse de la Rosette se trouve en réalité en bas à droite, ici colorée en bleu et blanc, et reliée aux autres nébuleuses par des filaments dorés.
Comme l’image présentée couvre un champ très large et que la pose est très profonde en rouge, elle semble contenir d’autres “fleurs”. Désignée sous le nom de NGC 2237, la nébuleuse de la Rosette abrite en son centre les étoiles bleues brillantes de l’amas ouvert NGC 2244, dont les vents et le rayonnement énergétique creusent et évacuent la région centrale de la nébuleuse.
La nébuleuse de la Rosette se situe à environ 5 000 années-lumière de la Terre et s’étend, à elle seule, sur un diamètre environ trois fois supérieur à celui de la pleine Lune. Ce champ fleuri se trouve dans la direction de la constellation de la Licorne (Monoceros).
#Astronomie #Astronomy
Crédit et droits d’auteur : R. Colombari & Francesco Antonucci ; Données : Subaru, ESO & F. Antonucci
Qu’ont en commun un cône, la fourrure d’un renard et un sapin de Noël ? Réponse : tous se trouvent dans la constellation de la Licorne (Monoceros). Cette région de formation stellaire, répertoriée sous le nom de NGC 2264, est un mélange complexe de gaz et de poussières cosmiques situé à environ 2 700 années-lumière. On y observe des nébuleuses d’émission rougeâtres, excitées par la lumière énergétique d’étoiles nouvellement formées, mêlées à des nuages de poussière interstellaire sombre. Lorsque ces nuages se trouvent à proximité d’étoiles jeunes et chaudes, ils reflètent leur lumière et produisent des nébuleuses par réflexion de teinte bleutée.
L’image couvre un champ équivalant à celui de la pleine Lune, soit environ 30 années-lumière à la distance de NGC 2264. Parmi les structures remarquables, on distingue la Nébuleuse de la Fourrure de Renard, au bas à droite, dont les volutes rappellent un pelage, l’étoile variable brillante S Mon visible juste au-dessus, et la Nébuleuse du Cône, à gauche de l’image.
Par leur disposition, les étoiles de NGC 2264 forment ce que l’on appelle aussi l’amas du Sapin de Noël : la silhouette triangulaire de l’arbre se dessine ici avec son sommet à la Nébuleuse du Cône, sur la gauche, et sa base élargie près de S Mon, sur la droite.
#nostrfr #Astronomie #Astronomy
📷 Alessio Di Cicco
Messier 27 (M27), aussi connue sous le nom de Nébuleuse de l’Haltère (Dumbbell Nebula), est l’une des plus célèbres nébuleuses planétaires du ciel boréal.
Située dans la constellation du Petit Renard (Vulpecula), elle se trouve à environ 1 360 années-lumière de la Terre et s’étend sur près de 2,5 années-lumière.
Découverte en 1764 par Charles Messier, M27 fut la première nébuleuse planétaire jamais observée, bien avant que l’on ne comprenne la nature réelle de ces objets.
Spectaculaire vestige d’une étoile mourante, la nébuleuse Dumbbell dévoile ici toute sa beauté.
#Astronomie #Astronomy