La galaxie du Condor
Pour commémorer le 25ᵉ anniversaire du lancement de l’observatoire à rayons X Chandra de la NASA, l’équipe de Chandra a publié, le 22 juillet 2024, cette image inédite de NGC 6872, une galaxie spirale située dans la constellation du Paon.
La galaxie spirale barrée NGC 6872 interagit avec une galaxie plus petite, visible en haut à gauche. Cette dernière aurait probablement arraché du gaz à NGC 6872, alimentant ainsi le trou noir supermassif situé en son centre.
S’étendant sur 522 000 années-lumière, NGC 6872 est plus de cinq fois plus grande que la Voie lactée.
Rayons X : NASA/CXC/SAO ; Optique : NASA/ESA/STScI ; Traitement de l’image : NASA/CXC/SAO/J. Schmidt, L. Frattare et J. Major
#Astronomie #Astronomy
Pour commémorer le 25ᵉ anniversaire du lancement de l’observatoire à rayons X Chandra de la NASA, l’équipe de Chandra a publié, le 22 juillet 2024, cette image inédite de NGC 6872, une galaxie spirale située dans la constellation du Paon.
La galaxie spirale barrée NGC 6872 interagit avec une galaxie plus petite, visible en haut à gauche. Cette dernière aurait probablement arraché du gaz à NGC 6872, alimentant ainsi le trou noir supermassif situé en son centre.
S’étendant sur 522 000 années-lumière, NGC 6872 est plus de cinq fois plus grande que la Voie lactée.
Rayons X : NASA/CXC/SAO ; Optique : NASA/ESA/STScI ; Traitement de l’image : NASA/CXC/SAO/J. Schmidt, L. Frattare et J. Major
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Photo par NASA/JPL/Space Science Institute
En juillet 2013, la sonde Cassini s’est retrouvée placée derrière Saturne, du point de vue du Soleil. Résultat : elle a vu la planète cacher le Soleil. Depuis plus d’un million de kilomètres de distance, Cassini a pris toute une série de photos, ensuite assemblées en une superbe mosaïque.
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La grande nébuleuse du Lézard
Crédit et droits d'auteur de l'image : Ian Moehring & Kevin Roylance
Explication : C'est l'une des plus grandes nébuleuses du ciel — pourquoi n'est-elle pas plus connue ? À peu près de la même taille angulaire que la galaxie d'Andromède, la grande nébuleuse du Lézard se trouve dans la constellation du Lézard (Lacerta). Cette nébuleuse d'émission est difficile à observer avec des jumelles à grand champ car elle est très faible, mais elle est aussi généralement difficile à voir avec un grand télescope en raison de son importante étendue angulaire — environ trois degrés. La profondeur, l'ampleur, les vagues et la beauté de la nébuleuse — cataloguée sous le nom de Sharpless 126 (Sh2-126) — sont mieux appréciées avec une longue exposition photographique. L'image présentée est le résultat d'une telle exposition combinée, réalisée sur trois nuits en août sous les cieux sombres de Moses Lake, Washington, États-Unis. Le gaz d'hydrogène de la grande nébuleuse du Lézard brille en rouge car il est excité par la lumière de l'étoile brillante 10 Lacertae, l'une des étoiles bleues éclatantes situées juste à gauche du centre de la nébuleuse rougeoyante. La plupart des étoiles et de la nébuleuse se trouvent à environ 1 200 années-lumière de distance.
Source : 
Crédits : NASA, Johns Hopkins University Applied Physics Laboratory, Southwest Research Institute, Roman Tkachenko.
Cette image montre Arrokoth, un petit objet binaire de contact de la ceinture de Kuiper, situé aux confins du Système solaire. Elle a été réalisée à partir des données recueillies par la sonde New Horizons lors de son survol de l’objet, le 1ᵉʳ janvier 2019.
L’image combine des couleurs proches de celles perçues par l’œil humain avec des photos très détaillées en noir et blanc.
Arrokoth mesure environ 33,5 × 19,5 km et se trouve à 43,4 unités astronomiques du Soleil. C’est un exemple typique d’objet de la ceinture de Kuiper, formé dans les premiers instants du Système solaire.
Crédits : Rayons X : NASA/CXC/SAO ; Optique : M. Clow ; Traitement d’image : NASA/CXC/SAO/L. Frattare et K. Arcand
NGC 2264, surnommé « l’Amas de l’Arbre de Noël », est un amas de jeunes étoiles âgées de un à cinq millions d’années, situé à environ 2 500 années-lumière de la Terre. Dans cette nouvelle image, des nuages vaporeux verts en forme de cône évoquent fortement un sapin. De minuscules points de lumière blanche, bleue, violette et rouge, correspondant aux étoiles de l’amas, parsèment la structure, transformant le nuage en un arbre de Noël cosmique et festif !
Dans cette image, les données en rayons X de l’observatoire Chandra (en rouge, violet, bleu et blanc) ont été combinées à des données optiques (en vert et violet) capturées par l’astrophotographe Michael Clow avec son télescope en Arizona, en novembre 2024.
La lune éclipsée posée au sommet de la tour Skytree à Tokyo, au Japon.
Cette composition place la « lune de sang » au sommet de la célèbre tour Skytree à Tokyo, donnant l’illusion que le disque lunaire rouge est fixé comme un orbe à l’extrémité d’un mât métallique.
(Crédit photo : JIJI Press / AFP / Japan OUT / STR / JIJI Press / AFP via Getty Images)
IRAS 04302 : disque papillon en formation planétaire
Crédit image : NASA, ESA, CSA, Webb ; traitement : M. Villenave et al.
Explication : Ce papillon peut donner naissance à des planètes. La nébuleuse qui se déploie autour de l’étoile IRAS 04302+2247 peut évoquer les ailes d’un papillon, tandis que la bande brune verticale en son centre peut rappeler son corps – mais ensemble, elles révèlent un système en pleine formation planétaire.
L’image présentée a été récemment obtenue en lumière infrarouge par le télescope spatial Webb. On y distingue un disque vertical épais, constitué de gaz et de poussières à l’origine des futures planètes. Ce disque bloque la lumière visible et la majeure partie du rayonnement infrarouge émis par l’étoile centrale, permettant d’observer plus nettement la poussière environnante qui réfléchit la lumière.
Au cours des prochains millions d’années, ce disque de poussière se fragmentera probablement en anneaux sous l’effet de la gravité des planètes nouvellement formées. Et, d’ici un milliard d’années, les gaz et poussières résiduels auront vraisemblablement disparu, ne laissant subsister que les planètes — comme dans notre propre Système solaire.
Source : 
NGC 3576 est une nébuleuse à émission lumineuse située dans le bras du Sagittaire de notre galaxie, à quelques milliers d’années-lumière de la nébuleuse d’Eta Carinae. Elle s’étend sur environ 100 années-lumière et se trouve à environ 9 000 années-lumière de la Terre. Elle a été découverte par John Frederick William Herschel le 16 mars 1834.
Son surnom populaire, « la Nébuleuse de la Statue de la Liberté », provient de la forme distinctive visible en son centre. Ce nom fut proposé pour la première fois en 2009 par un ami à moi, le Dr Steve Mazlin.
Traitement et calibration de l’image : Mark Hanson
Acquisition des données : Martin Pugh, El Sauce, Chili
#nostrfr #Astronomy #Astronomie