Plongée époustouflante dans le cratère Tycho ! 🌕✨ KAGUYA (SELENE), la mission japonaise de la JAXA, révèle les détails lunaires grâce à sa caméra de terrain. 🚀📸 #nostrfr #Astronomy #Space
Éruption solaire – 26 août 2022 image 📷 Eddie Bagwell Voici une autre éruption spectaculaire du Soleil. La hauteur et la masse de plasma de celle-ci sont extraordinaires. Il est de notoriété publique que le Soleil fluctue entre une activité maximale et minimale sur un cycle de 11 ans. Les récentes éruptions solaires suggèrent une augmentation de l'activité solaire interne, une observation qui serait cohérente avec le maximum prévu pour le printemps 2025. Des éruptions solaires comme celle-ci se produisent lorsque les lignes de force magnétiques du soleil rompent la photosphère, exposant l'intérieur solaire plus profond et plus chaud, permettant au plasma surchauffé de s'échapper, offrant un affichage brillant à travers le spectre électromagnétique. Si l'éruption est suffisamment forte, une éjection de masse coronale (EMC) peut l'accompagner, éjectant de prodigieuses quantités de plasma chargé et surchauffé. À l'intérieur d'une éruption, la température atteint généralement 10 à 20 millions de degrés Kelvin. Un aperçu de ce qui est à venir avec l'apogée du cycle solaire de 2025. Source :
image 📷 NASA/Rad Sinyak Début de l’année prochaine, des humains voleront autour de la Lune pour la première fois depuis plus de 50 ans. L’équipage d’Artemis II — de gauche à droite : Jeremy Hansen, spécialiste de mission de l’ASC (Agence spatiale canadienne) ; Christina Koch, spécialiste de mission ; Victor Glover, pilote ; et Reid Wiseman, commandant — enfilant leurs combinaisons Orion Crew Survival System pour un entraînement de plusieurs jours dans le module d’équipage, débutant le jeudi 31 juillet 2025 au Kennedy Space Center de la NASA en Floride. #Space #Espace
Yeux dans le ciel : La NASA dispose de sondes en orbite autour de Mars et de la Lune, qui capturent chaque jour des images d’une grande précision de ces deux mondes, à la fois pour la recherche scientifique et pour la reconnaissance. Ces images ont été prises toutes les deux le 1er mai. 🛰📷 – À gauche : Mars Reconnaissance Orbiter – À droite : Lunar Reconnaissance Orbiter
SH2-157 la nébuleuse de la Pince de Homard et la nébuleuse de la Bulle dans SHO image 📷 ScottF Source :
Lune gibbeuse croissante image 📷 Roberto Ortu #Astronomie #Astronomy
Image astronomique du jour 9 août 2025 image Intrus interstellaire 3I/ATLAS vu par Hubble Crédit image : NASA, ESA, David Jewitt (UCLA) et al. – Traitement : Joseph DePasquale (STScI) Explication : Découvert le 1ᵉʳ juillet grâce au télescope d'étude ATLAS (Asteroid Terrestrial-impact Last Alert System), financée par la NASA et installé à Rio Hurtado, au Chili, 3I/ATLAS est ainsi désigné comme le troisième objet interstellaire connu à traverser notre Système solaire. Il succède à 1I/ʻOumuamua en 2017 et à la comète 2I/Borisov en 2019. Également connu sous le nom de C/2025 N1, 3I/ATLAS est une comète. Une nuée de poussière en forme de larme, éjectée de son noyau glacé réchauffé par l’augmentation de l’ensoleillement, est visible sur cette image nette du télescope spatial Hubble, prise le 21 juillet. Les étoiles d’arrière-plan apparaissent étirées sur la pose car Hubble suivait la trajectoire de la comète la plus rapide jamais enregistrée en route vers le Système solaire interne. L’analyse de l’image Hubble indique que le noyau solide, invisible directement, mesure probablement moins de 5,6 kilomètres de diamètre. L’origine interstellaire de cette comète est confirmée par son orbite : une trajectoire excentrique et fortement hyperbolique qui ne repasse pas autour du Soleil, renvoyant 3I/ATLAS vers l’espace interstellaire. Sans menace pour la Terre, cet intrus interstellaire est désormais à l’intérieur de l’orbite de Jupiter autour du Soleil ; son approche maximale du Soleil le conduira juste à l’intérieur de l’orbite de Mars. Source : #Astronomie #Astronomy
LDN43 — une chauve-souris cosmique enflammée image 📷 Xinran Li LDN43 correspond à une région de nébuleuse obscure située à proximité immédiate de la nébuleuse du Cheval de Troie bleue. La morphologie de cette nébuleuse évoque une forme de chauve-souris en vol plané à travers le milieu interstellaire. Source : #Astronomy #Space
Comète 67P/Churyumov-Gerasimenko image Cela peut ressembler à une montagne solitaire, mais ce paysage n’appartient pas à notre monde : c’est l’une des images couleur les plus rapprochées jamais prises de la surface d’une comète. La sonde Rosetta de l’Agence spatiale européenne (ESA) a réalisé ce gros plan de la surface tourmentée et déchiquetée de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko depuis seulement 29 kilomètres de distance. La comète 67P est une montagne gelée de roche et de glace, large de quatre kilomètres, qui file dans l’espace sur une orbite de six ans et demi autour du Soleil. #Astronomy #Space #Espace
Image de Saturne obtenue par la sonde Cassini de la NASA. image