image WR 134 est une étoile variable située à environ 6 000 années-lumière de la Terre dans la constellation du Cygne. WR 134 expulse une partie de ces couches externes qui sont ensuite soufflées par le rayonnement intense et les vents stellaires rapides de l’étoile. L’éjecta est ensuite entré en collision avec la nébuleuse ambiante entourant l’étoile pour former cette espèce de disque (en bleu dans l’image). Copyright : Christian Bertincourt
image Étonnante : Outters 4, une nébuleuse bipolaire (visible en bleu), enchâssée dans la gigantesque nébuleuse en émission HII Sh2-129 (visible en rouge). Crédit : T.A. Rector (Université d'Alaska à Anchorage) et H. Schweiker (WIYN et NOIRLab/NSF/AURA)
Image astronomique du jour 10 juillet 2025 image Nébuleuse obscure de Lynds 1251 Crédit et copyright de l’image : Cristiano Gualco Explication : des étoiles sont en train de se former dans la nébuleuse obscure de Lynds (LDN) 125. Située à environ 1 000 années-lumière de nous et flottant au-dessus du plan de notre galaxie, la Voie lactée, LDN 1251 est aussi, de manière nettement moins appétissante, surnommée la "Nébuleuse du Poisson Pourri". Ce nuage moléculaire poussiéreux fait partie d’un complexe de nébuleuses sombres cartographiées dans la direction de la région de l’épanchement de Céphée (Cepheus Flare). Les explorations astronomiques à travers le spectre de ces nuages interstellaires obscurcissants révèlent des chocs énergétiques et des flux sortants associés à la naissance d’étoiles, incluant la lueur rougeâtre caractéristique d’objets de Herbig-Haro disséminés dans l’image. Des galaxies lointaines en arrière-plan rôdent également dans la scène, presque ensevelies derrière l’étendue poussiéreuse. Ce séduisant cadrage télescopique couvre presque trois pleines lunes dans le ciel — ce qui correspond à plus de 25 années-lumière à la distance estimée de LDN 1251. #Astronomy #Space
Admirez la magnifique nébuleuse de la Rosette, située à environ 5 000 années-lumière. (Crédit : CTIO/NOIRLab/DOE/NSF/AURA – Traitement de l’image : T.A. Rector (Université de l’Alaska à Anchorage/NSF NOIRLab), D. de Martin & M. Zamani, NSF NOIRLab) – Vidéo par Universal-Sci #Astronomy #Space
Évolution du système binaire R Aquarii, composé d’une naine blanche et d’une géante rouge (2014 à 2023) La luminosité de l’étoile binaire centrale varie au fil du temps en raison des fortes pulsations de la géante rouge. Crédits : NASA, ESA, M. Stute, M. Karovska, D. de Martin & M. Zamani-ESA/Hubble #Space #Astronomy
image Cette image composite montre une vue en infrarouge de Titan, la lune de Saturne, obtenue par la sonde Cassini de la NASA lors du survol, effectué le 13 novembre 2015. Ces observations ont été réalisées à l’aide du spectromètre imageur en lumière visible et infrarouge (VIMS) de la sonde.
Image astronomique du jour 9 juillet 2025 image Trifide la Belle Crédit & Copyright de l'image : Alessandro Cipolat Bares Explication : La splendide nébuleuse de la Trifide est une étude cosmique des contrastes. Également connue sous le nom de M20, elle se situe à environ 5 000 années-lumière dans la direction de la constellation riche en nébuleuses du Sagittaire. Région de formation stellaire située dans le plan de notre galaxie, la Trifide illustre trois types différents de nébuleuses astronomiques : les nébuleuses en émission rouges, dominées par la lumière émise par les atomes d’hydrogène, les nébuleuses par réflexion bleues, produites par la poussière qui réfléchit la lumière des étoiles, et les nébuleuses sombres, où des nuages de poussière denses apparaissent en silhouette. Mais c’est surtout la région d’émission rouge, grossièrement divisée en trois par des bandes de poussière obscurcissantes, qui a valu à la Trifide son nom populaire. Des piliers et jets sculptés par des étoiles nouvellement formées, visibles au-dessus et à droite du centre de la nébuleuse d’émission, apparaissent dans les célèbres gros plans du télescope spatial Hubble. La nébuleuse de la Trifide mesure environ 40 années-lumière de diamètre. Trop faible pour être vue à l’œil nu, elle couvre, dans cette vue télescopique profonde, presque la même superficie dans le ciel terrestre qu’une pleine Lune.
image 💫 Collision cosmique en cours ! Les galaxies NGC 2207 et IC 2163, à 114 millions d’années-lumière, s’entrelacent dans une lente danse gravitationnelle. IC 2163, déformée par sa grande voisine, finira engloutie dans une fusion galactique... dans quelques milliards d’années. 📸 JWST / NASA / ESA
Image astronomique du jour 8 juillet 2025 image Les Pléiades en rouge et bleu Crédit image et copyright : Ogetay Kayali ( Michigan Tech U. ) Texte : Ogetay Kayali ( Michigan Tech U. ) Explication : Si vous avez observé le ciel et observé un groupe d’étoiles de la taille de la pleine Lune, il s’agit des Pléiades (M45). Sans doute l’ amas d’étoiles le plus célèbre du ciel, ses étoiles les plus brillantes sont visibles même depuis les villes les plus polluées par la lumière. Mais à l’œil nu, sa nébulosité – le gaz et la poussière qui l’entourent – ​​peut également être vue sous un ciel sombre. Cependant, les télescopes peuvent en capter encore plus. Les étoiles bleues brillantes des Pléiades, aussi appelées les Sept Sœurs, illuminent la poussière environnante, lui donnant un bleu diffus, visible uniquement lors de longues expositions. Mais ce n’est pas tout. La poussière cosmique semble s’étirer vers le haut comme des bras éthérés. Et toute la structure est entourée d’une lueur rougeâtre provenant de l’ élément le plus abondant de l’univers : l’hydrogène. L’image présentée ici, composée de près de 25 heures de pose, a été prise l’année dernière depuis l’observatoire Starfront, au Texas, aux États-Unis.
Les Piliers de la Création prennent vie dans une nouvelle visualisation de la NASA grâce aux télescopes Hubble et Webb. Rendus célèbres en 1995 par le télescope spatial Hubble de la NASA, les Piliers de la Création, situés au cœur de la nébuleuse de l’Aigle, ont captivé l’imagination du monde entier par leur beauté saisissante et éthérée. Aujourd’hui, la NASA dévoile une nouvelle visualisation 3D de ces majestueuses structures célestes, réalisée à partir des données des télescopes spatiaux Hubble et James Webb. Il s’agit du film multibande le plus complet et le plus détaillé à ce jour sur cette région de formation stellaire. Crédits Producteur : Greg Bacon (STScI) Réalisateur : Frank Summers (STScI) Conseillère scientifique : Anna McLeod (Université de Durham) Visualisation : Greg Bacon, Ralf Crawford, Joseph DePasquale, Leah Hustak, Danielle Kirshenblat, Christian Nieves, Joseph Olmsted, Alyssa Pagan, Frank Summers (STScI), Robert Hurt (Caltech/IPAC) Crédit musical : “Adrift” par Joseph DePasquale (STScI) #Astronomie #Astronomy #Space #nostrfr