Le module lunaire Apollo 11, la Lune et la Terre.
Vue du module lunaire Eagle d’Apollo 11 alors qu’il remontait de la surface lunaire pour s’amarrer au module de commande Columbia. On distingue sous l’engin une région lisse de type mare sur la Lune, tandis qu’une Terre à moitié illuminée se détache à l’horizon. Cette photo a été prise par Michael Collins, pilote du module de commande, juste avant l’amarrage, le 21 juillet 1969.
Vue du module lunaire Eagle d’Apollo 11 alors qu’il remontait de la surface lunaire pour s’amarrer au module de commande Columbia. On distingue sous l’engin une région lisse de type mare sur la Lune, tandis qu’une Terre à moitié illuminée se détache à l’horizon. Cette photo a été prise par Michael Collins, pilote du module de commande, juste avant l’amarrage, le 21 juillet 1969.
La troisième fois est la bonne !
Ce jour là en 1992 : la toute première, et unique, sortie extravéhiculaire à trois personnes a eu lieu lorsque l’équipage de la mission STS-49 a tenté pour la troisième fois de capturer le satellite Intelsat VI. D’une durée d’environ 8,5 heures, il s’agissait également de la plus longue sortie dans l’espace jamais réalisée à l’époque ! 🏆
Selfie de persévérance avec Ingenuity
Crédits d'image : NASA , JPL-Caltech , MSSS
Explication : lors de la mission du rover martien Sol 46 (date terrestre du 6 avril 2021), Perseverance a tendu un bras robotique pour prendre son premier selfie sur Mars . La caméra WATSON au bout du bras a été conçue pour prendre des gros plans des roches martiennes et des détails de la surface, et non un instantané rapide d'amis et de visages souriants. Au final, un travail d'équipe et des semaines de planification sur Mars ont été nécessaires pour programmer une série complexe d'expositions et de mouvements de caméra pour inclure Perseverance et ses environs. Les 62 images résultantes ont été composées en une mosaïque détaillée, l'un des selfies de rover martien les plus complexes jamais pris. Dans cette version du selfie, les instruments Mastcam-Z et SuperCam du rover regardent vers WATSON et l'extrémité du bras tendu du rover. À environ 4 mètres (13 pieds) de Perseverance se trouve un compagnon robotique, l'hélicoptère Mars Ingenuity. Perseverance a désormais passé plus de 1 500 sols à explorer la surface de la planète rouge. Le 18 janvier 2024, jour terrestre, Ingenuity a effectué son 72e et dernier vol à travers la fine atmosphère martienne.
Source:
Cette image, prise par la sonde Mars Express de l’Agence spatiale européenne (ESA), montre la région d’Acheron Fossae sur Mars. Cette zone présente de nombreux signes d’une activité ancienne, allant de fossés en forme de tranchées et de falaises abruptes à des plaines lisses et des dômes élevés formés par le volcanisme.
(Crédit image : ESA/DLR/FU Berlin)
L’une des photos dévoile des structures en forme de fossés appelées « grabens », qui s’étendent sur environ 800 kilomètres – soit à peu près la longueur de l’Allemagne. Ces formations résultent d’une ancienne activité volcanique ayant déformé la surface martienne il y a près de quatre milliards d’années.
Selon les responsables de l’ESA, la coulée de lave provenant du volcan voisin Alba Mons (non visible sur l’image) serait probablement à l’origine de la région lisse située au centre inférieur du cadre. Le grand demi-cercle au centre de l’image constitue une preuve d’un ancien cratère d’impact.
Mais ce n’est pas tout, car une autre image en couleur, prise par la caméra stéréo haute résolution (HRSC) de l’orbiteur, exploitée par le Centre aérospatial allemand, révèle la topographie de cette région sur Mars sur laquelle des vestiges ravivent l’espoir d’une forme de vie extraterrestre. Ainsi, les bleus et les violets représentent des altitudes plus basses, tandis que les rouges et les blancs montrent les sommets situés dans cette région, comme les trois pics coniques en haut à droite de la deuxième photo qui mesurent plus de cinq kilomètres d’altitude.

Cette image, prise en octobre 2024 par la caméra stéréo à haute résolution (HRSC) à bord de l’orbiteur Mars Express de l’Agence spatiale européenne (ESA), montre un cratère en décomposition nommé Deuteronilus Cavus. Selon l’ESA, il est « imprégné de couches de l’histoire martienne », ayant subi des coulées de lave volcaniques, une érosion par l’eau liquide, des cycles répétés de gel-dégel ayant élargi ses bords, ainsi que des dépôts successifs de poussières volcaniques transportées par le vent.
Deuteronilus Cavus se serait formé à l’origine à la suite d’un impact, il y a environ 4,1 à 3,7 milliards d’années, à une époque où Mars — comme les autres planètes du Système solaire — était intensément bombardée par des astéroïdes et des comètes.
Au fil du temps, cette dépression presque circulaire de 120 kilomètres de diamètre a été agrandie par l’action de l’eau et de la glace, atteignant près du double de sa taille initiale.
🌕 Crash lunaire confirmé pour iSpace.
Après une phase d’incertitude peu rassurante, la startup japonaise a reconnu cette nuit que son atterrisseur Hakuto-R s’était écrasé en tentant de se poser sur la Lune.
En cause : un altimètre laser capricieux, dont les données incohérentes ont induit en erreur la navigation. Résultat, un freinage trop tardif... et un alunissage un peu trop brutal. 🚀💥
S’il y a un trou dans mes traces, vous devinez peut-être qui est responsable 🌪️
J’ai pris cette image avec ma caméra de navigation arrière après une récente traversée. Je continue d’explorer la bordure du cratère Jezero, que j’ai quittée il y a plusieurs mois dans ma quête de signes d’une vie microbienne passée.