Weaving Liberation just released this toolkit to fight tech policing: "This community-centred and informed toolkit, written by Zara Manoehoetoe, offers an overview of what digital policing is and aims to do. It also showcases some examples of how we can resist, and the importance of building a collective and international, cross-movements solidarity." @npub1qf97...gmr7 proudly contributed!
Aujourd'hui débutent les discussions de la PPL #Narcotraficotage en commission des Lois à l'Assemblée nationale. C'est à 16h30 et ça commencera par l'audition des deux ministres de l’Intérieur Gérald Darmanin puis Bruno Retailleau. Ensuite, les député⋅es enchaîneront avec l'examen du texte qui pourrait durer jusqu'à vendredi. Il sera possible de suivre sur #DirectAN
À #Marseille, la lutte contre les data centers se poursuit, notamment dans le quartier de Saint-André avec l'appui du collectif Le Nuage était sous nos pieds : . Leur réponse à l'enquête publique de la préfecture détaille les griefs contre ce projet absurde et dangereux, qui conforte l'internet des GAFAM et la fuite en avant des infrastructures numériques à l'heure de l'intelligence artificielle : 📄.pdf #hIAtus
La loi Narcotrafic, que nous avons renommée « surveillance et narcotraficotage » car elle est l'occasion pour les parlementaires d'y glisser toutes leurs marottes sécuritaires, comporte aussi une autorisation pour la police d'utiliser des logiciels espions pour activer à distance la caméra ou le micro d'un téléphone ou d'un ordinateur. image
ENCORE UNE LOI DE MERDE - Surveillance et narcotraficotage L'Assemblée nationale s'apprête à discuter une loi intitulée « Sortir la France du piège du narcotrafic ». En réalité, ce texte modifie le régime juridique de la « criminalité organisée » qui offre à la police des moyens importants et intrusifs en matière de surveillance numérique.
➡️ La loi « narcotrafic » veut la fin de la confidentialité des services chiffrés de messagerie ou d'hébergement. Comment ? En obligeant les fournisseurs à affaiblir leur protocole de chiffrement via l'introduction d'une faille ou porte dérobée, aussi appelée « backdoor ». Depuis des années, nous combattons les tentatives de limiter cette sécurité qui protège nos échanges et nos activités en ligne et permet ainsi que nous puissions y exercer totalement nos libertés. image
La semaine prochaine, l'Assemblée nationale discutera de la proposition de loi relative au « narcotrafic ». Contrairement à ce que le nom du texte indique, les mesures proposées vont bien au-delà du seul trafic de stupéfiants et, si elles étaient adoptées, pourraient hisser la France en tête des pays les plus avancés en matière de surveillance numérique. La Quadrature du Net lance donc aujourd'hui une campagne de mobilisation pour lutter contre cette loi :
Hier, dans la soirée, l'Assemblée nationale a adopté en quelques minutes un amendement reportant la fin de « l'expérimentation » de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) prévue le 31 mars prochain au... 31 décembre 2027. Aucun débat sur le fond, aucune justification. Juste un coup de force permis par une idéologie autoritaire majoritaire et le mépris grandissant de ceux qui nous gouvernent pour le respect des règles de droit.
Aujourd'hui, la commission des lois de l'Assemblée nationale va reprendre les discussions sur la proposition de loi relative à la sécurité dans les transports. Nous vous en parlions il y a quelques jours : c'est via ce texte que le gouvernement tente un coup de force, qui semble passer inaperçu, en voulant étendre l'expérimentation de la vidéosurveillance algorithmique (#VSA) jusqu'en 2027.
Cette année, nous avons investi un nouveau combat : les questions mêlant numérique et écologie. Nous avons notamment commencé à dénoncer les impacts du numérique sur le territoire et nous continuerons l'an prochain. N'hésitez pas à nous soutenir sur ! image