Ça va durer encore combien de temps ? Dans la lettre #écologie de @Mediapart cette semaine, on revient sur la grande hypocrisie du moment: le business des #pesticides avec la bénédiction des autorités... alors que leur toxicité est de + en + documentée. (lien pour s'abonner en commentaire)

Voilà des produits dont l’utilisation est illégale en Europe, mais dont les géants de la chimie tirent un juteux business. Entre 2018 et 2024, l’exportation européenne des #pesticides interdits est passée de 82 000 à 122 000 tonnes. Ce sont les révélations des ONG Public Eye et Unearthed, et on en parle dans @Mediapart . L'occasion de revenir sur notre info du début de l'été : l'insecticide Fastac et sa substance alpha-cyperméthrine sont bel et bien exportés depuis l'Europe où on ne peut plus les consommer... Et leur producteur BASF est d'ailleurs, de très loin, le premier exportateur européen de pesticides interdits.

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Malgré ses engagements, l’Europe exporte toujours plus de pesticides interdits

Selon une enquête des ONG Public Eye et Unearthed, la firme BASF est celle qui exporte le plus de produits phytosanitaires devenus illégaux en Eu...

[Info @Mediapart ] Contrairement à ce qui a été conclu dans le non-lieu de 2023, les connaissances scientifiques sur le #chlordécone étaient en réalité déjà là quand il a été utilisé dans les #Antilles: l'État lui-même le mettait sur une liste de produits cancérogènes et avait fait des recommandations... dès 1988. Une information capitale, alors que se tient, lundi et mardi, l'audience de l'appel du non-lieu à Paris.

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Le chlordécone cause de cancer : l’État l’avait admis dès 1988

Selon les informations de Mediapart, une circulaire du ministère du travail datant de mai 1988 prévenait les employeurs du caractère cancérogè...