Bonjour nostr ! #Mali đŸ‡ČđŸ‡± Vieille terre d’histoire, de culture, de mythe et de lĂ©gende, Gogui serait fondĂ© en 1881 par un paysan chasseur du nom de #Manana_Diawara. Originaire de #Nomo (commune de YĂ©rĂ©rĂ©), Manana Diawara se serait rendu Ă  Nomo Madina (commune de Diarrah) pour la chasse puis Ă  Boulouli. De lĂ , il continua la chasse jusqu’au nord oĂč il dĂ©couvrit, un site Giboyeux qui lui donna le dĂ©sir de s’y installer avec sa famille en 1881. il donna Ă  ce site le nom de #Gogui_Zamel (ancien Gogui ) ou Gogui kassĂ©. Il resta seul dans ce site avec sa famille, mais le souci de la recherche de l’eau et des terres cultivables fertiles noires l’obligea Ă  abandonner cet emplacement pour rejoindre une petite mare en 1887 et fonda Gogui kouroumba (l’actuel GOGUI). Il y resta pendant quatre ans et aurait eu en sa possession toutes les terres du secteur jusqu’au mont Guelibatt- BoukinĂ© (RĂ©publique Islamique de Mauritanie) durant ce temps d’exil, une partie de sa famille restĂ©e Ă  Nomo prit contact avec lui pour solliciter son retour au village natal. Il s’exĂ©cuta Ă  moitiĂ© puisqu’il quitta Gogui pour s’installer Ă  Boulouli sans retour durant quatre (4) ans. Pendant cette pĂ©riode, les terres de Manana Ă©taient restĂ©es inoccupĂ©es jusqu’en 1931. Beaucoup d’habitants (les Sacko) de Banna vinrent lui demander des terres de culture Ă  Gogui. Celui ci sans doute accepta leur demande en les envoyant avec son fils #YatĂ©_Diawara chargĂ© de leur offrir les terres tout en lui confĂ©rant le privilĂšge de la chefferie ainsi que la gestion des affaires du village. Plus tard en 1933, les DiakitĂ©, Diaby et Diouara venus de DiandioumĂ© vinrent s’adresser Ă  Manana pour le mĂȘme but. À ceux- ci se sont ajoutĂ©es de nombreuses familles maures, venues des tribus avoisinantes de Oulad M’BarkĂ© et de Oulad Naasre qui imposĂšrent le paiement d’impĂŽts aux populations SoninkĂ©. Les tribus Sacko, CissĂ© et Kaera refusent d’obtempĂ©rer et furent immĂ©diatement chassĂ©s du village. Mais force est de reconnaĂźtre que le chef de Banna fut douloureusement marquĂ© par ce geste et n’est pas restĂ© indiffĂ©rent face Ă  une telle situation. C’est ainsi qu’en 1936 un conflit Ă©clata entre les deux communautĂ©s (SoninkĂ© et Maure) entraĂźnant la dislocation de Gogui et le dĂ©part de ses habitants respectifs. À l’approche de l’hivernage de la mĂȘme annĂ©e, les DiakitĂ©, Diaby et Diouara ont fait leur retour et laissa les Sacko Ă  Boulouli, certains d’entre eux se sont installĂ©s Ă  Tourourou et dans d’autres villages. Ce n’est qu’en 1946, que le village de Gogui a Ă©tĂ© administrativement reconnu et son Ă©rection en village. Les Sacko et d’autres habitants ont finalement acceptĂ© de se rallier Ă  Gogui et #Sambou_Diawara neveu de Manana Diawara devint 1er chef de village de 1946 Ă  1959 soit 13 ans de pouvoir. Mais au retour de l’exil de son grand frĂšre #Nouhan_Diawara, Sambou fut Ă©cartĂ© du pouvoir en 1960. Il ne revint qu’aprĂšs la mort de ce dernier en 1961. il a fait 16 ans de pouvoir pour la 2Ăšme fois (de 1962 Ă  1978). De 1946 Ă  1959, les communautĂ©s Maures qui refusĂšrent de se faire recenser et de payer les impĂŽts aux autoritĂ©s maliennes quittĂšrent Gogui pour s’installer Ă  5 km au Nord- Ouest de Gogui et fondĂšrent le village de #FatĂ© dans les champs de culture des populations de Gogui. Les annĂ©es successives de sĂ©cheresse et son cortĂšge manque d’eau les obligĂšrent Ă  nouveau d’abandonner le site pour s’installer dĂ©finitivement dans le village de Gogui Diamel par la force d’oĂč le nom #Bilazmi (installer par force). De 1979 Ă  1993, diffĂ©rents chefs de village se sont succĂ©dĂ©s Ă  la tĂȘte de Gogui parmi eux, on peut citer : - YatĂ© Diawara (1979 - 1985) soit 7 ans ; - KandĂ© Diawara (1986 - 1993) soit 8 ans ; - CheicknĂ© Diawara Ă  la tĂȘte du village depuis 1993 mais dĂ©cĂ©da en Juillet 2015. SituĂ©e Ă  l’extrĂȘme Nord du cercle de Nioro du Sahel, la Commune Rurale de Gogui couvre une superficie de 1 460 km2 avec une population estimĂ©e Ă  plus de 17.878 habitants soit une densitĂ© d’environ 10 hbts au km2 . La commune de Gogui est limitĂ©e : - Au sud par celle de YĂ©rĂ©rĂ© ; - Au sud- Est par la commune Rurale de Diarrah ; - À l’ouest et au nord par la RĂ©publique Islamique de Mauritanie. Administrativement, la Commune Rurale de Gogui se compose de 9 villages : - Gogui, - Labidi, - Boulouli, - SĂ©nĂ©waly, - Tourourou, - Banna, - Boye, - Dimina - DiandioumĂ©. Bienvenue dans la commune rurale de Gogui !!!! #nostr #bitcoin #zaps #nostrfr
Bonjour nostr! #Mali đŸ‡ČđŸ‡±: Relevant de la commune rurale de #DiabiguĂ©, cercle de TroungoumbĂ©, rĂ©gion de Nioro du Sahel, le village de #Meremidy est un village SoninkĂ©. SituĂ© Ă  9 Km au Nord-est de DiabiguĂ©, le village de Meremidy est un village dont l’agriculture, l'Ă©levage et le commerce demeurent les principales activitĂ©s Ă©conomiques du village. Le village compte une Ă©cole fondamentale (1Ăšre Ă  6Ăšme annĂ©e) et une Ă©cole coranique appelĂ©e #Anass_Ibn_Malick enseignant aux enfants l'histoire de la religion, les versets coraniques. Excellente journĂ©e Ă  vous !!! #nostr #bitcoin #zaps #nostrfr
Bonjour nostr! Les usines, nouvelles cibles des groupes terroristes au Mali De plus en plus, les hommes armĂ©s ciblent les usines. Plusieurs d’entre elles Ă  travers le pays ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© victimes d’attaque terroriste. Des actions qui portent un coup Ă  l’économie nationale. Le prix du ciment connaĂźt une hausse depuis quelques semaines depuis l’attaque par des hommes armĂ©s d’une usine de ciment dans la rĂ©gion de Kayes, il y a quelques semaines. Aujourd’hui, la tonne du ciment est cĂ©dĂ©e entre 120 mille et 135 mille francs FCA au Mali. Cette augmentation inquiĂšte Ă  Bamako. Drissa SangarĂ© maçon dans la capitale malienne demande aux autoritĂ©s d’intervenir. « L’augmentation du prix du ciment nous a causĂ© d’énormes problĂšmes. Parce que qui parle de maçonnerie parle de ciment. Nous les maçons, nous ne pouvons pas travailler sans ciment. MĂȘme nos chantiers en cours sont arrĂȘtĂ©s Ă  cause de l’augmentation du prix du ciment», affirme-t-il. La situation a donc impactĂ© le taux de chĂŽmage selon, lui « Il y a des maçons qui sont au chomage depuis un ou deux mois. Un chef de fammille faire un mois ou deux mois, c’est pas joli Ă  voir », se lamente Drissa SangarĂ©. Avant d’appeler les autoritĂ©s. « Nous les maçons, nous suhaitons que le gouvernement fasse quelque chose » « Asphyxier le pays » D’autres attaques ont rĂ©cemment visĂ© deux usines de production de sucre dans la rĂ©gion de SĂ©gou dans le centre du pays. Pour l’économiste Modibo Mao Makalou, ces actes des groupes terroristes ont pour objectif d’étouffer l’économie nationale. C’est pourquoi, il appelle Ă  un sursaut de tous les Maliens pour mettre en Ă©chec ces attaques terroristes. #nostr #bitcoin #zaps #nostrfr image
🔮 AES : La Belgique et le Luxembourg se retirent des financements ! Les jours sont dĂ©sormais comptĂ©s pour les aides belges et luxembourgeoises au Mali, Niger et Burkina Faso. En raison de l’insĂ©curitĂ© et des tensions diplomatiques, la Belgique et le Luxembourg s’apprĂȘtent Ă  mettre fin Ă  leurs coopĂ©rations avec les pays de l’Alliance des États du Sahel (AES). 👉 LuxDev, Enabel, BIO
 Ces partenaires majeurs injectaient chaque annĂ©e des millions d’euros dans des projets agricoles, Ă©ducatifs, et de dĂ©veloppement rural. Rien qu’en 2024, LuxDev a dĂ©bloquĂ© 23,7 millions € pour le Mali et le Burkina. Quant Ă  la BIO, les dettes en cours des États membres de l’AES avoisinent les 70 millions d’euros. ⚠ Ce retrait pourrait porter un coup dur Ă  des secteurs vitaux, dĂ©jĂ  fragilisĂ©s par la situation actuelle. #nostr #zaps #bitcoin #nostrfr
Bonjour nostr ! #mali đŸ‡ČđŸ‡± 🔮 Nara sous la menace : la population vit dans la peur des attaques terroristes ! À Nara, dans la rĂ©gion frontaliĂšre avec la Mauritanie, la psychose est devenue le quotidien des habitants. Face Ă  la recrudescence des attaques terroristes, les populations sont prises en Ă©tau entre routes minĂ©es, accĂšs quasi impossibles, hausse vertigineuse des frais de transport et soupçons de complicitĂ©s locales avec les groupes armĂ©s. 😟 MalgrĂ© les efforts de nos Forces de dĂ©fense et de sĂ©curitĂ©, la situation empire. La route principale est devenue un piĂšge mortel, et les activitĂ©s Ă©conomiques sont paralysĂ©es. 🛑 Une chose est sĂ»re : la victoire contre le terrorisme ne se fera pas sans l’implication de chaque citoyen ! #nostr #bitcoin #zaps #nostrfr image
#mali đŸ‡ČđŸ‡± Le village de Siranikoro, situĂ© dans la commune rurale de Kita Nord (Sibikili), fait partie de la RĂ©gion de Kita au Mali đŸ‡ČđŸ‡± . La population locale est majoritairement composĂ©e de MalinkĂ©s, aux cĂŽtĂ©s d'autres ethnies comme les DiawambĂ© (DiokoramĂ©) et les Peulhs. L'Ă©conomie du village repose essentiellement sur l'agriculture et l'Ă©levage, qui constituent les principales activitĂ©s des habitants. #nostr #bitcoin #zaps #nostrfr
Bonjour nostr ! Je vous annonce le lancement de ma boutique : #DiawaraBoutique 100% art traditionnel malien đŸ‡ČđŸ‡± pour en savoir plus 👀👇 https://yakihonne.com/article/ Lien externe de mon profil : https://yakihonne.com/users/nprofile1qqsyyfqae29e3p7hdnlnpffwr8e5wdr6zqeuylk2caxlnrlp9vvg78qzqqpsgqqqqqqqu420vz Merci de votre soutien âšĄïž #shop #sell #boutique [sell] #nostrfr #nostrshop View Article →
Bonsoir nostr ! #DjabĂ©_Djama situĂ© Ă  cĂŽtĂ© de la mosquĂ©e, est le premier endroit des habitants de GavinanĂ© oĂč ils deposĂšrent le reste de leurs armes aprĂšs la prise de Nioro du Sahel par #Archinard. C'est aussi un endroit oĂč la plupart des enfants du village furent rasĂ©s sous son tronc et leurs cheveux furent introduits dans les trous de cet arbre dont le tronc est toujours visible et jusqu'Ă  prĂ©sent, on y retrouve des cheveux. #nostr #bitcoin #zaps #nostrfr image
Bonjour nostr! En 1871, Minankourou KontĂ©, chef du village de Faranbougou, dĂ©cĂ©dait. La coutume d’alors imposait pour le remplacer de choisir le plus ĂągĂ© de la famille des KontĂ©. Celui-ci dĂ©clina cette faveur et proposa DjĂ©guery Sissoko, cousin des KontĂ© qui Ă©tait le plus vieux du village. Une partie des KontĂ© accepta cette solution, tandis que l’autre la refusa. AprĂšs plusieurs jours de tractation, chaque clan dĂ©signa son chef de village. Deux chefs ne pouvant gĂ©rer le mĂȘme village, le clan de Djeguery Sissoko dĂ©cida de s’installer ailleurs. DjĂ©guĂ©ry, Ă©tant une personnalitĂ© mystĂ©rieuse, dĂ©clara que le site de son village serait lĂ  oĂč on trouverait sa hache de nuit accrochĂ©e Ă  un arbre particulier. La recherche de la hache dura quelques mois pendant lesquels les dissidents sĂ©journĂšrent Ă  deux kilomĂštres du site actuel de DiĂ©ma. La hache fut dĂ©couverte lors de l’abattage d’un Ă©lĂ©phant et l’arbre sur lequel on la trouva correspond Ă  l’emplacement actuel de la maison du chef de famille des Sissoko Ă  DiĂ©ma. À cette Ă©poque, le roi du Kaarta Ă©tait El Hadj Omar Tall. Il fut informĂ© du conflit. Devant les accusations de dissidence, DjĂ©guĂ©ry Sissoko dĂ©clara au roi qu’il s’était simplement retirĂ© dans un hameau pour cultiver. Le roi accepta cette version. Ceux qui n’avaient pas acceptĂ© le dĂ©part de DjĂ©guĂ©ry proposĂšrent alors au roi une stratĂ©gie pour vĂ©rifier ses dires. Ils imaginĂšrent de donner l’alarme en faisant rĂ©sonner le grand tambour de Faranbougou. Au son de ce tambour, tous les hommes du village devaient se regrouper Ă  Faranbougou. En l’absence de DjĂ©guĂ©ry et des siens, la dissidence serait avĂ©rĂ©e. Sentant le danger, une des sƓurs de DjĂ©guĂ©ry qui Ă©tait restĂ©e Ă  Faranbougou alla Ă  cheval prĂ©venir ses frĂšres du piĂšge et du moment oĂč le tambour devait retentir. Les dissidents se regroupĂšrent pour rĂ©pondre Ă  l’appel. Le fait de se rassembler Ă  l’endroit oĂč la hache fut dĂ©couverte donna le nom de « DiĂ©ma ». Il est composĂ© de « diĂ© » qui signifie « association » et de « maou » qui signifie « personnes ». À la suite de ce rassemblement, le roi accorda sa confiance Ă  DjĂ©guĂ©ry Sissoko et depuis se succĂšdent Ă  DiĂ©ma alternativement des chefs de village aux noms de Sissoko ou de KontĂ©. En 1872, DiĂ©ma ne comptait que 22 familles qui pratiquaient l’agriculture et l’artisanat. DiĂ©ma a connu la colonisation en 1891 aprĂšs la prise de Nioro du Sahel par le colonel Archinard. Pendant la colonisation, DiĂ©ma Ă©tait chargĂ©e de la collecte des impĂŽts et du recrutement d’hommes pour les travaux forcĂ©s. Quatre hommes de DiĂ©ma sont morts pour la France pendant la guerre de 1914. En 39/45, DiĂ©ma a fourni 14 hommes Ă  l’armĂ©e française et tous sont revenus. DiĂ©ma a connu sa premiĂšre Ă©cole en 1935 et a Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e en chef-lieu d’arrondissement en 1959. AprĂšs l’indĂ©pendance, DiĂ©ma s’est Ă©tendue du fait de la pratique extensive de l’agriculture et est devenue chef-lieu de cercle en 1977. SituĂ©e au carrefour des routes vers la Mauritanie et le SĂ©nĂ©gal, favorisant le dĂ©veloppement des Ă©changes et du commerce. Chef-lieu de commune et de cercle dans la rĂ©gion de Nioro. La ville-centre de la commune comptait 7 000 habitants en 1998 et, selon les estimations, 9 028 habitants en 2003. La commune de DiĂ©ma regroupait la ville-centre, avant la rĂ©gionalisation de Nioro du Sahel 15 villages et 14 hameaux mais actuellement, il regroupe 22 villages. Elle dĂ©passe aujourd’hui les 30 000 habitants. Les chefs de village sont les sissoko. Excellente journĂ©e dominicale Ă  tous !!! #nostr #bitcoin #zaps #nostrfr
#Koussata_Sofara, avec une population estimĂ©e Ă  plus de 2 699 habitants, est un village Kakolo situĂ© dans la commune de #Dioumara, cercle de #DiĂ©ma, rĂ©gion de Nioro du Sahel. Bon dimanche Ă  tous 🙏 #nostr #zaps #bitcoin #nostrfr