Accompagner des enfants capables de soutenir les femmes dans leur cycle, ça commence tôt. Même à 2 ou 4 ans, ils peuvent apprendre à comprendre ce que vit une femme et comment l’accompagner. Deuxième semaine seule avec mes deux enfants. La fatigue se fait sentir et mes règles arrivent. Heureusement, ils savent ce que c’est. Après la naissance de mon fils, ma fille, 2 ans, m’accompagnait aux toilettes et s’est familiarisée avec les lochies. Un an et demi plus tard, quand mon retour de couches est arrivé, elle m’a demandé si c’était la même chose. Elle s’en souvenait ! Je lui ai expliqué : le manque d’énergie, l’irritabilité, parfois des douleurs, le besoin de repos ou d’isolement. Et presque chaque mois, on en reparle. (Petite question : à partir de quel âge arrivez-vous à aller seul.e.s aux toilettes durablement ? 🚽😅) Aujourd’hui, en voyant que mes règles arrivaient, j’ai d’abord paniqué : H24 avec les enfants, comment faire ? Alors je les ai “convoqués” : “Vous vous souvenez de ce que c’est ? Et comment pouvez-vous m’aider aujourd’hui ?” Ma fille a répondu : “Je peux jouer un peu plus toute seule et te laisser tranquille ?” J’ai eu envie de pleurer tellement c’était beau. Bien sûr, elle n’a pas réussi toute la journée, et mon fils n’y comprend pas encore grand-chose. Mais ils apprennent à écouter et à soutenir. Et je me rends compte que j’élève un futur homme capable d’accompagner les femmes dans leur cycle. Alors allez-y ! Parlez-en. Dites ce que vous ressentez, ce dont vous avez besoin, ce qui vous fait du bien. Un jour, vous aurez une famille qui vous soutient dans vos cycles. Et vous contribuez à une génération plus à l’écoute de son corps, loin des messages toxiques sur le sang et les odeurs. — Je suis Susana, doula, et j’accompagne les parents pour qu’ils élèvent leurs enfants en conscience, dans le respect de leurs corps, de leurs émotions et de leurs besoins mutuels. #menstruations #parentalitéconsciente #écoutedesoi #éducationpositive #doula #futursparents #cycleféminin #parenting #bleeding #nostrfr
J’ai menti lors d’un entretien d’embauche. Et j’ai eu le job. Je voulais ce poste. La mission me parlait énormément, et je partageais les valeurs de l’entreprise. Mais il fallait maîtriser un outil informatique dont je n’avais jamais entendu parler. Pour moi, c’était un détail. J’ai toujours été autodidacte, et ça n’allait pas m’empêcher de donner le meilleur de moi-même si j’étais prise. J’ai téléchargé le tutoriel et je l’ai lu dans le train, juste avant l’entretien. J’ai appris assez pour me débrouiller à l’oral. Puis, on m’annonce que j’ai eu le poste ! J’avoue : j’ai galéré les premières semaines. Et j’ai eu peur d’avoir commis une erreur. Mais plus tard, j’ai découvert que n’importe qui aurait galéré : les fichiers de sauvegarde n’étaient plus compatibles avec la version du logiciel installée sur le PC. Quand j’ai quitté ce poste, un an et demi plus tard, je n’ai eu que des retours positifs. J’avais apporté un nouveau souffle, été à l’origine de nouvelles idées, porté seule des projets… j’étais allée bien au-delà de ce qui était attendu lors de l’entretien. Quand je suis devenue entrepreneuse et que c’était à mon tour de recruter, c’était une évidence : la motivation et les valeurs comptaient bien plus que n’importe quel diplôme ou expérience pro. Et on ne s’est pas trompés : au sein de WE DO GOOD, nous avons accueilli des personnes extraordinaires, qui ont énormément apporté à l’équipe et à l’entreprise. Et qui ont grandi avec nous. Pourquoi je vous raconte cette histoire ? Parce que ma fille est en Moyenne Section, et que ça me rend dingue, ce formatage qui commence si tôt. La privation de ce dont ils ont besoin pour bien se développer : tester, explorer, jouer. Et ces ministres qui disent qu’il faut « se préparer presque depuis la maternelle à sa formation et à un métier ». On tue leur génie et leur créativité pour les faire rentrer dans des cases, pour passer une bonne partie de leur vie à l’école à apprendre des choses qui ne les intéressent pas forcément, qu’ils vont oublier, pour finir par décrocher, ou au pire, par tenir bon jusqu’au burn-out. Je caricature, mais dans les grandes lignes, c’est ça, la réalité aujourd’hui en France. Sommes-nous ici, dans cette vie, pour ça ? Je ne le crois pas. Alors, si ce sujet vous parle et que vous recrutez… Est-ce que ça vous dirait de revoir vos cases ? D’oublier le CV et de demander une vraie lettre de motivation ? D’oublier le diplôme et de vous concentrer sur les qualités humaines et les valeurs ? — Je suis Susana et j’accompagne les parents qui veulent élever leurs enfants dans la curiosité, la confiance et la liberté — pour qu’ils puissent grandir sans rentrer dans les cases qu’on leur impose. #recrutement #valeurs #motivation #éducation #parentalité #apprentissage #doula #curiosité #liberté #nostrfr #parenting #job #CV image
Il y a quelques jours, j'ai évoqué « des parents fiers d’avoir tenu jusqu’à 6 mois avant d’avoir cédé aux écrans ». C’était une phrase parmi d’autres, dans un texte qui parlait de tout autre chose. Et pourtant, c’est celle qui a déclenché le plus de réactions : des commentaires, des messages privés, des gens en colère. Pas à cause du fond, mais parce qu’ils se sont sentis jugés. Et ça m’a beaucoup fait réfléchir. Pourquoi certains sujets déclenchent-ils autant d’émotions, même quand l'intention du message n'est pas de culpabiliser ? Je suis convaincue que c’est parce qu’en fait la culpabilité ne vient pas de l’extérieur : ce ne sont pas les autres qui nous font sentir coupables. Elle naît quand un mot, une phrase, vient toucher un endroit en nous qu’on pensait apaisé : - un choix qu’on a fait à contre-cœur - une période où on s’est senti·e seul·e, dépassé·e - un souvenir, un regret, une valeur mise de côté Mais la culpabilité n’est pas une faute, n'est pas à blâmer, à corriger, à enfouir. C’est une émotion à écouter, comme toutes les autres : elle parle de nos besoins, de nos valeurs, de ce qu’on aimerait vivre différemment. Donc aujourd'hui je te propose un exercice simple qui a changé ma vie (je me sentais coupable de tout et n'importe quoi !). La prochaine fois que tu sens cette émotion monter - au travail, dans ton rôle de parent, dans ton couple - fais une pause. Oublie le message, ou la personne qui l’a dit. Et demande-toi : pourquoi ça me touche ? Qu’est-ce que j’aurais aimé vivre différemment ? Qu’est-ce que ça dit de mes besoins, de mes limites, de mes valeurs ? Parfois, comprendre ça change tout. — Je suis Susana, et j’accompagne les femmes et les couples à vivre une parentalité plus consciente, plus alignée et plus sereine - loin des injonctions et des comparaisons. Et j’ai créé le programme audio Gardiens de la Naissance, une préparation dédiée aux futurs pères pour mieux comprendre, soutenir et traverser ensemble la grossesse, la naissance et le post-partum. #culpabilité #parentalité #émotions #intelligenceémotionnelle #préparationalenaissance #doula #postpartum #psychologie #nostrfr #parenting image
« Des parents fiers d’avoir tenu jusqu’à 6 mois avant d’avoir cédé aux écrans. » C’était une phrase parmi d’autres, dans une publication sur un tout autre sujet. Et pourtant, c’est celle qui a déclenché le plus de réactions : des commentaires indignés, des messages privés, des débats passionnés. Comme si parler d’écrans revenait forcément à juger. Mais au fond, ce que je voulais dire, c’est surtout ça : être parent aujourd’hui, c’est incroyablement difficile. On vit dans une société où chaque décision parentale est scrutée. Où tout devient sujet à polémique : allaitement ou biberon, cododo ou chambre séparée, diversification libre ou purées maison, école publique ou Montessori. Et à la moindre divergence, la culpabilité s’invite. Alors qu'on fait de notre mieux. Les mères doivent être parfaites : patientes, organisées, épanouies, bien coiffées, la maison rangée, l’enfant heureux et propre. Et quand ce n’est pas le cas (spoiler : c’est rarement le cas), elles se sentent en échec. Parce qu’elles ne rentrent pas dans le cadre parfait d’Instagram. Les pères, eux, se retrouvent face à un rôle nouveau : ils doivent tout apprendre, tout comprendre, tout incarner — la présence, le soutien, la douceur, la solidité — souvent sans avoir eu de modèle à suivre, tout en continuant à “assurer” au travail. Et au milieu de tout ça, le village a disparu. Les familles sont éclatées, les communautés se sont effacées, le temps s’est contracté. Alors oui, c’est normal qu’on soit paumés, fatigués, dépassés. Et qu’on culpabilise quand quelqu’un ose juste évoquer les “écrans”. Mais ce n’est pas un manque de volonté. C’est un manque de préparation. Pas une préparation médicale, logistique ou purement technique. Mais une vraie préparation humaine : à la grossesse, à l’enfantement, au post-partum et à la parentalité. Une préparation qui parle de la physiologie, de l’attachement, du développement émotionnel de l’enfant, du couple, du rôle du père, du lien mère-bébé. Et surtout, une préparation qui tienne compte de la réalité : la fatigue, les doutes, la solitude, les contradictions. Changer la préparation à la naissance telle qu’elle existe aujourd’hui, c’est pour moi un enjeu essentiel. Pas juste pour “mieux vivre” la naissance, mais pour transformer en profondeur la façon dont on entre dans la parentalité. — Je suis Susana, doula. J’accompagne les femmes et les couples à vivre une parentalité plus consciente, plus apaisée, plus vraie — loin des injonctions et des comparaisons. Et j’ai créé le programme audio “Gardiens de la Naissance” pour les futurs papas : une préparation hebdomadaire, à écouter seul ou en couple, pour mieux comprendre, soutenir et vivre pleinement cette aventure. #parentalité #préparationalenaissance #doula #maternité #paternité #postpartum #naissance #gardiensdelanaissance #nostrfr #parenting
Ma mère pense que ma fille de 4 ans est surdouée. Et ça me révolte. Elle s’intéresse à la lecture, oui. Mais c’est aussi une enfant qui a grandi dans une maison remplie de livres. On en a toujours eu plus que de jouets. On va chaque semaine à la bibliothèque. On lit tous les soirs. Et, surtout, elle nous voit lire, concentrés, en y prenant du plaisir, en rigolant même. Ce n’est pas ma fille qui est surdouée. C’est l’environnement qui la nourrit. Plus il y a de livres à la maison, plus ils sont valorisés, plus les enfants développent des compétences solides en lecture et en compréhension. C’est un facteur plus important que le milieu socio-économique. ➜ Li et al., BMC Psychology (2025) ➜ Evans et al., Research in Social Stratification and Mobility (2010) Et ça me rend dingue de voir, dans ma famille, tous ces enfants collés à des écrans — avec des parents fiers d’avoir “tenu” jusqu’à leurs six mois avant de céder. Des enfants à qui on interdit de toucher la nourriture avec les mains, de se salir, de faire du bruit. Je ne les juge pas. Je suis bien consciente de combien c’est difficile d’être parent aujourd’hui. Ce qui me rend dingue, c’est qu’on en soit arrivés là. Et l’école, ce n’est pas mieux : une maman me racontait récemment avoir été convoquée par la maîtresse, car son fils de 3 ans « ne pensait qu’à jouer » et « n’avait pas encore compris le sens de l’école ». Les enfants apprennent en jouant, en imitant, en explorant, en expérimentant. Pas en répétant sagement ce qu’on leur dit. — Je suis Susana, doula. J’accompagne les jeunes parents qui veulent élever leurs enfants dans la curiosité, la confiance et la liberté — loin des injonctions absurdes. image #éducation #lecture #parentalité #développementdelenfant #parentalitéconsciente #liberté #curiosité #doula #nostrfr #parenting
Si tu as peur de devenir mère, ce message est pour toi. On ne naît pas prête. On le devient. Tu n’as pas à être parfaite. Juste présente. Pendant longtemps, je disais que je ne voulais pas d’enfants. J’étais mal à l’aise avec les bébés, les gamins, même les ados. Je pensais ne pas avoir “l’instinct maternel”. Je me racontais que je voulais être libre, que le monde était déjà bien plein, que ce n’était pas écolo… Et puis ma cousine a eu un bébé. Le bébé le plus doux, le plus câlin, celui qui te serre fort juste parce qu’il t’aime. Et là, j’ai compris. Je ne voulais pas d’enfants parce que moi-même, je n’avais pas eu le droit d’en être une très longtemps. J’ai dû grandir trop vite. Et la petite fille en moi était restée seule, triste, en manque de tendresse. Comment aurais-je pu prendre soin d’un autre enfant alors qu’elle, à l’intérieur, n’avait encore jamais été accueillie ? Aujourd’hui, en même temps que je suis devenue mère de deux enfants, je prends soin de cette petite fille intérieure. Et plus je la guéris, plus je me sens apaisée, confiante, capable. — Je suis Susana, doula. J’accompagne les futures mères dans cette traversée où l’on enfante un bébé… mais aussi une nouvelle version de soi. Et j’ai créé le programme Gardiens de la Naissance pour aider aussi les futurs pères à trouver leur place dans cette transformation. #devenirmère #doula #grossesse #matrescence #transformation #maternité #naissance #postpartum #gardiensdelanaissance #nostrfr
Dimanche, j'ai animé un atelier sur la place du père dans l'allaitement maternel. Sur la vingtaine de participant.e.s, 3 pères étaient présents. Et j'ai vu leur regard changer au moment où je leur ai dit ces mots : "Ce n'est pas de votre faute." Je venais de partager deux cas classiques : des projets d'allaitement avec toutes les conditions de réussite, qui se sont terminés prématurément. Pourquoi ? Parce que les pères n'avaient pas été suffisamment préparés. Pas par manque de volonté, mais parce qu'ils ne connaissaient ni les mécanismes du lien d'attachement, ni comment sortir de la posture du "sauveur". Comme d'habitude, tout le monde était prêt à pointer du doigt ces jeunes pères qui "n'ont pas voulu" se préparer. C'est là que j'ai posé LA question : combien de pères décident consciemment de ne pas se préparer ? Consciemment, c'est-à-dire : → J'ai compris que c'était un défi majeur → On m'a fourni des outils adaptés → J'ai choisi de les refuser Ma réponse ? AUCUN. Le problème n'est pas les pères. Avant, on faisait sans eux. Ce n'était ni leur rôle, ni dans leurs gènes, ni dans leur héritage culturel. Les femmes étaient entourées d'un village de soutien, essentiellement féminin. Cette transformation s'est faite en quelques décennies seulement. Nous cherchons encore nos repères : notre place, notre rôle, nos outils. Quand j'ai expliqué qu'il était parfaitement normal que les pères ET les mères se sentent souvent perdus, j'ai senti un soulagement collectif. Prendre conscience de ce contexte, ça change tout. Mais ce n'est pas une excuse pour l'inaction. Le monde a changé. Nous avons besoin d'un upgrade urgent de ce que nous proposons aux futurs pères. Les enjeux sont immenses : ✨ Bien-être des mamans en post-partum ✨ Réduction du taux de dépression périnatale ✨ Santé de la mère et du bébé ✨ Stabilité des couples après la naissance -- Je suis Susana, doula engagée pour un meilleur accompagnement des futurs pères et des couples. J'ai créé Gardiens de la Naissance, une série audio qui aide les futurs pères à trouver leur juste place — celle d’un allié solide, confiant et conscient. #Paternité #Allaitement #PostPartum #Doula #Parenting #Birth #Nostrfr image
Tellement de bouleversements en ce moment, qu'une nouvelle présentation s'impose ! Quand je me présente aujourd’hui, je commence par dire que je suis maman de deux enfants. Car leur naissance a bouleversé ma vie, m’a poussée à tout questionner… et m’a permis de me retrouver moi-même. Je suis arrivée en France il y a 20 ans, par amour. Et j'ai toujours un petit accent. Aujourd’hui, je vis à la campagne entre Rennes et Nantes, dans une vieille maison en pierre que nous voulu rénover avec mon conjoint. Mille péripéties plus tard, nous préparons désormais un départ en mode nomade vers le Sud. À la recherche de liberté, de simplicité et de légèreté. Je suis intuitive, empathique, hypersensible. Plutôt introvertie aussi. J’ai 40 ans mais parfois je me sens comme une petite fille dans un corps d'adulte. D'autres fois, comme une grand-mère pleine de sagesse. Et, plus souvent, juste comme une maman dépassée par le quotidien. Je connais la violence physique et psychologique, l’abus se*uel, l’alcoolisme, la dépression, le burn-out, la précarité, le deuil, l’abandon, le rejet, la trahison. Le fil rouge de parcours est atypique ? Mon intuition. J'ai toujours su l'écouter, même si les décisions à prendre ne semblaient pas très rationnelles. Ce qui a fait que j'ai toujours rencontré les bonnes personnes au bon moment. Aujourd’hui, j'ai l'honneur de partager ma vie avec un homme qui m’encourage à aller plus loin. Il fait confiance à mon intuition encore plus que moi… et me pousse à sortir régulièrement de ma zone de confort. Mes métiers sont multiples : ✨ J’ai créé Gardiens de la Naissance, un programme audio pour les futurs papas. ✨ Je suis doula et j’accompagne des mamans, des familles, de la grossesse au post-partum. ✨ J’explore le monde énergétique et propose des soins transformateurs. Et dans un tout autre registre… J’aime observer les grands bateaux passer au large. Ramasser des coquillages. Lire, écrire. Explorer les mystères de la nature, du corps humain et de l’Univers. Je suis née dans la religion catholique, que j'ai longtemps critiquée. Aujourd’hui je crois surtout que toutes les croyances se rejoignent. Qu'au fond, nous cherchons tous la même chose : le sens de la Vie. Je crois en l’Amour universel et inconditionnel. En l’unicité. Et je crois aux signes, ces fameuses coïncidences improbables… de vrais messages à écouter avec le cœur. Je crois aussi que notre corps est sacré. Qu’il nous transmet, lui aussi, des messages essentiels pour avancer. Pourquoi Mama Ourse ? 🐻 Parce que l’ours revient souvent dans ma vie… et que je m’y reconnais profondément. Symboliquement, l’ourse incarne la mère de famille prête à tout pour protéger les siens. C’est l’opposition du clan face à la société. Elle est aussi liée au soin maternel et à l’instinct de survie. Si ma présentation résonne avec toi, peut-être que nous avons un bout de chemin à parcourir ensemble. Écris-moi 💌 #Hello #MeetMe #GettingToKnowYou #Nostrfr #doula #energycare #Hellonostr #Helloworld
Passer de 1 à 2 enfants, peut être un de tes plus gros défis. Ma fille avait un an et demi et se réveillait encore la nuit quand j’ai eu envie d’un 2ème enfant. Malgré la fatigue, je pensais que ce serait plus simple. C’est ce que tout le monde disait. Je ne m’attendais pas à ce que ce soit si dur. Le nourrisson, l’allaitement, les nuits hachées… ça, je connaissais. C’était fluide. Mais ne plus être disponible pour mon aînée, la voir en détresse, enchaîner des tempêtes émotionnelles… ça m’a brisé le cœur. Cela arrive surtout aux mamans, par nature plus prises par le nourrisson les premières semaines. Mais aussi au papa, qui prend souvent le relais et peut avoir l’impression de ne pas réussir à créer du lien avec le bébé, surtout en comparant avec ce qu’il avait vécu pour l’aîné.e. Aujourd’hui encore, avec 4 et 2 ans, je me sens parfois démunie quand ils se disputent. Ce qui arrive au moins une fois par jour, parfois 10. Je n’ai pas envie de passer mon temps à chercher qui a raison, à raisonner (ça ne marche pas), ni à perdre mes moyens faute d’outils. Alors je lis, je me forme, encore et encore. Voici 3 astuces pour t’aider : - prépare (vraiment) ton aîné·e - prévois très vite des moments exclusifs avec lui/elle - apprends des techniques pour encourager les comportements positifs (ça évite cris et punitions) J'ai écrit un article sur le sujet : https://www.gardiensdelanaissance.com/blog/preparer-arrivee-deuxieme-bebe-guide-complet Tu y trouveras quelques idées de rituels pour préparer ton ainé.e, la liste des meilleurs livres pour enfants sur le sujet et quelques ressources et outils pour t'aider à ne pas te sentir démuni.e sur le sujet ! #parentalite #devenirparents #fratrie #maternite #paternite #grossesse #postpartum #viedeparents #viedefamille #mumlife #dadlife #nostrfr #parenting
Essayer d'enfanter de manière physiologique à l'hôpital 🤣 Si vous ne connaissez pas, ça vient du compte @thegreatbirthrebellion sur Insta, ils sont géniaux ! #grossesse #accouchement #birth #naissance #nostrfr